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Channel: FIONA ET MILLA ANTONINI
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PEDOPHILIE ET RITUELS SATANIQUES :INTERVIEW DE MARIA-PIA POUR LA TV ITALIENNE NATIONALE

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PEDOPHILIE ET RITUEL: QUE FAIT LA JUSTICE?

VIDEO A VOIR ABSOLUMENT!!!


MON INTERVIEW, SOUS-TITREE EN FRANCAIS (lien ci-dessous), POUR LA TV NATIONALE ITALIENNE:LE IENE (MEDIASET), le 24-03-2010.
DIFFUSER A TOUS VOS CONTACTS.MERCI !

VERSION ITALIENNE ET SOUS-TITREE EN FRANCAIS :
http://dailymotion.virgilio.it/video/xd5koc_maoloni-maria-pia-pour-la-tv-nation_news

ENREGISTREMENT CHOC DES CONFIDENCES
DE FIONA AGEE DE 4 ANS 1/2, SUR LES VIOLENCES SEXUELLES QU'ELLA A SUBIES

 INTERVIEW DU PERE, ROCCO ANTONINI ET DE BENSAIDA TAOUFIK, DIRECTEUR DU SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE MONS/BELGIQUE - MESSAGE DE MARIA-PIA POUR SES ENFANTS



TRIBUNAL DE MONSTRES


COMMENT ENTRER EN ENFER? LE CAS DE FIONA ET MILLA ANTONINI:
LES DEUX
SOEURS BELGO-ITALIENNES ABUSEES ET PROSTITUEES PAR LEUR PERE ET
GRAND-PERE. ACTUELLEMENT, ELLES SONT EN BELGIQUE AVEC LEURS
BOURREAUX, ET LA MAMAN EST SANS NOUVELLE DE SES ENFANTS DEPUIS 3 ANS !


PARTIE 1



PARTIE 2


PARTIE 3





FIONA ET MILLA COMME OBJETS DE CHANTAGE PAR LES AUTORITES DE MONS-BELGIQUE (INTERVIEW EN 2007)

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Message de MAOLONI MARIA-PIA à ses deux enfants, Fiona et Milla, le 21/12/2007 :

Ses deux enfants ont été rapatriées ILLEGALEMENT en Belgique, dans le milieu paternel pédophile, le 19 mai 2007; alors que la Cour de Cassation italienne révoquait ce rapatriement !!! La maman reste sans nouvelle de ses enfants depuis lors.

http://www.youtube.com/watch?v=ki1jxL0FoTM



Depuis 9 ans, Madame MAOLONI Maria Pia, maman de Fiona (14 ans) et de Milla (10 ans) se bat pour protéger ses deux enfants contre les violences sexuelles qu’elles ont subies par leur père, ANTONINI Rocco et leur grand-père paternel, ANTONINI Roberto.

Mais sa bataille d’amour pour ses enfants a pris les couleurs sombres d’une lutte contre l’enfer et contre une protection mafieuse autour des ANTONINI et de leurs complices. En effet, l’enfant aînée a déclaré avoir été amenée par son père et son grand-père dans des lieux luxueux où étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants ; et qu’on les prenait en photo.

A Mons (en Belgique), les procédures judiciaires ont pris systématiquement une orientation en faveur des ANTONINI malgré un dossier impressionnant de documents et de témoignages en faveur de la crédibilité des dires de l’enfant aînée. ACTUELLEMENT, LES ENFANTS ONT ETE CONFIEES AU PERE EN BELGIQUE ET SONT INTROUVABLES !!!! MALGRE UN DOSSIER PENAL POUR VIOLS SUR MINEURS A CHARGE DU PERE ET DU GRAND-PERE PATERNEL TOUJOURS EN COURS, en Italie. LA MAMAN, QUI VIT EN ITALIE, N'A PLUS AUCUNE NOUVELLE DE SES DEUX ENFANTS DEPUIS 6 ANS!!!!

Au courant du mois de décembre, le SPJ (SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE ET DE L'AIDE A LA JEUNESSE) DE MONS convoque Maria Pia pour un entretien prévu le 20 décembre 2007.

Ne pouvant s'y rendre (elle est bloquée en Italie suite au mandat d'arrêt européen lancé par son ex-mari Rocco ANTONINI contre elle pour enlèvement d'enfants; alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!) ce sont les avocats des deux parties et le père, Rocco ANTONINI qui y sont présents.

Le directeur du SPJ de Mons (Belgique), Taoufik BENSAIDA, déclare durant cet entretien qu'un contact téléphonique sera autorisé entre Maria Pia et ses deux filles, Fiona et Milla le 21 décembre à 17h... Un simple coup de fil qui représente un soulagement et un espoir énorme, Maria Pia n'a en effet aucune nouvelle, aucun contact avec ses filles depuis le 19 mai 2007 !!! Tout contact même téléphonique ayant été refusé par le père et ses avocats, Maître BARTHELEMY Jean-Emmanuel et Maître DEPETRIS Nathalie, avocats au Barreau de Mons.

Le lendemain, au lieu d'avoir comme convenu ses filles au bout du fil, elle parlera à Monsieur BENSAIDA qui lui explique qu'elle doit cesser la "guerre" si elle espère revoir ses filles. Monsieur BENSAIDA lui aurait suggeré de retirer ses plaintes de pédophilie à charge du père et du grand père paternel, ainsi que le rapporte la chaine de TV Nuova TVP et d'autres journaux de la presse Italienne..

En Italie, Maître TAORMINA C. est l'avocat de MAOLONI Maria-Pia. Maria-Pia a le soutien de plusieurs associations internationales

Cet appel doit servir à sensibiliser tous les citoyens pour pouvoir aider la maman à retrouver ses deux enfants et à les sauver de cet enfer!

Afin de créer cette solidarité autour des deux enfants, une pétition on line a été réalisée :

http://www.petitiononline.com/mariapia/petition.html
 
MERCI AU NOM DE FIONA ET DE MILLA,
DEUX AGNEAUX LIVRES AUX LOUPS!

PEDOPHILIE BELGIQUE: DERNIERES INTERVIEWS DE Maria-Pia MAOLONI 2012-2013

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  INTERVIEW POUR LA TELEVISION ITALIENNE (VERA TV, 25/11/2012)

TRADUITE ET SOUS-TITREE EN FRANCAIS (pour voir le sous-titrage français, cliquer sur la petite case rectangulaire sur le player, tout en bas du video).

 MERCI DE DIFFUSER A VOS CONTACTS

 23/03/2013 :
 (in italiano)

  http://vimeo.com/63661323

 25/11/2012 :
(sous-titrage en français)



JOYEUX ANNIVERSAIRE MILLA, MON TRESOR !!!!

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POUR TES 10 ANS,
le 14/06/2013 :

VIDEO EN FRANCAIS :


VIDEO EN ITALIEN :


JOYEUX ANNIVERSAIRE FIONA, MON TRESOR !!!!

TELEPHONE MAMAN 0039 366 199 22 26

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SEUL ESPOIR POUR UN CONTACT AVEC MES ENFANTS DONT JE RESTE SANS NOUVELLE DEPUIS PRESQUE 6 ANS: DIFFUSEZ CE NUMERO PARTOUT SUR LE NET ET A' TOUS VOS CONTACTS :0039/366/199 22 26

AIDEZ FIONA ET MILLA A ME CONTACTER... JE N'AI PLUS DE NOUVELLE DE MES ENFANTS DEPUIS 6 ANS

FIONA ET MILLA ANTONINI,
MES CHERIES, MES ENFANTS,
Voici le numéro de téléphone sur lequel vous pouvez me joindre:

0039/366/199 22 26


Je n'ai plus de nouvelle de vous depuis presque 6 ans! Maman ne vous abandonnera JAMAIS!

Sachez que je fais l'impossible pour obtenir des contacts avec vous, ainsi que toute ma famille, mais votre père, le SPJ de Mons (directeur: bensaida taoufik) et le tribunal de Mons nous empêchent d'avoir ces contacts avec vous!

Je vis en Italie et je ne peux pas retourner, pour le moment, en Belgique car il y a un mandat d'arrêt pour enlèvement d'enfant contre moi, émis par la Belgique. Ce mandat d'arrêt a été jugé comme non fondé par l'Italie mais la Belgique ne veut pas l'annuler. De cette façon, ils nous maintiennent séparées : vous en Belgique et moi, en Italie. Mais sachez que rien ni personne ne pourra nous empêcher de nous aimer!

L'AMOUR EST PLUS FORT QUE TOUT MES CHERIES N'OUBLIEZ JAMAIS QUE JE VOUS AIME A L'INFINI!!!!

Votre maman chérie, MAOLONI Maria-Pia

(Ce numero de téléphone est strictement réservé à mes enfants. Si vous souhaitez me contacter, merci de bien vouloir m'écrire à l'adresse email suivante: mariapia@live.fr)







Voici le tract pour les deux petites soeurs, Fiona et Milla Antonini, victimes d'abus sexuels par leur père et leur grand-père paternel et victimes d'abus de pouvoir par le système judiciaire montois.
Pourriez-vous s'il-vous-plait en faire plusieurs copies et les distribuer à toutes vos connaissances ainsi que dans les lieux publics, dans les écoles, sur les voitures dans les parkings; à l'intérieur de vos voitures, dans les magasins, dans les grandes surfaces ...
Ce tract peut également être envoyé par email à tous vos contacts afin que ceux-ci puissent à leur tour le transmettre à leurs propres contacts...

Il faut surtout cibler les régions suivantes : Mons, Binche, Charleroi (lieux d'habitation probable du père, de sa compagne et peut-être des enfants).

Infiniment, nous vous remercions pour l'aide que vous leur apporterez.

COSAFM (Comité de Soutien et d'Action pour Fiona et Milla)

IMPRIMEZ ET DIFFUSEZ SURTOUT EN BELGIQUE, DANS LES REGIONS

SUIVANTES:1.BINCHE,2.FRAMERIES,3.MONS, 4.CHARLEROI.

TRACTS ET AFFICHES A PLACER DANS DES LIEUX PUBLICS (ECOLES, BARS, LIEUX SPORTIFS, AUBETTES DE BUS,MAGASINS,PARKINGS PUBLICS, SUR LES VOITURES EN

STATIONNEMENT,SUR LES VITRES DE VOTRE VOITURE...). CECI AFIN DE DIFFUSER AU MAXIMUM CE NUMERO DE TELEPHONE POUR QU'IL PUISSE PARVENIR LE PLUS RAPIDEMENT A MES ENFANTS, DONT JE RESTE SANS NOUVELLE D'ELLES DEPUIS 6 ANS!!!!

Pour télécharger l'affiche et le tract en résolution d'impression,

cliquez sur les liens ci dessous:

Le TRACT
Lien de téléchargement :
http://www.megaupload.com/?d=1JEL8M6N


L' AFFICHE
Lien de téléchargement :
http://www.megaupload.com/?d=KSDMXCZC


Appliquez ces affiches sur les vitres des AUTOS et FENETRES des maisons dans les régions ciblées EN BELGIQUE (Mons, Frameries, Binche,Charleroi,...). MERCI




JOYEUX ANNIVERSAIRE FIONA, MON TRESOR !!!!
(née le 29/04/1999)

(29/04/2013) : POUR TES 14 ANS....

Message de Maria-Pia à sa fille Fiona, en français:


Message de Maria-Pia à sa fille Fiona, en italien :


JOYEUX ANNIVERSAIRE, MILLA, MON TRESOR !!!!
(née le 14/06/2003)

Message de MAOLONI Maria-Pia à sa fille Milla, en français :


Message de MAOLONI Maria-Pia à sa fille Milla, en italien :



FIONA, MILLA, MAMAN VOUS ATTEND !
VOICI VOTRE CHAMBRE...

VIDEO 1

VIDEO 2



Pédophilie Belgique : au coeur d'un système,
interview Maria-Pia Maoloni 2012


1/  23/03/2013 : INTERVIEW POUR LA TV ITALIENNE (VERA TV) (en italien) /
INTERVISTA PER LA TV ITALIANA (VERA TV), in italiano;

http://vimeo.com/63661323

 
2/  25/11/2012 : INTERVIEW POUR LA TELEVISION ITALIENNE (VERA TV) TRADUITE ET SOUS-TITREE EN FRANCAIS (pour voir le sous-titrage, cliquer sur la petite case rectangulaire sur le player, tout en bas du video). MERCI DE DIFFUSER A VOS CONTACTS




Une initiative pour aider Fiona et Milla


Beaucoup d'entre vous nous demandent souvent " comment aider "

Il va de soi que ne rien faire n'aboutit à rien! Il faut donc prendre des initiatives!

C'est ce que Maria-Pia (la maman) a fait. Elle invite toutes les personnes qui veulent l'aider à imprimer et distribuer ce message d'espoir pour ses deux petites filles de 11 et 7 ans.

Pourquoi faire cela? et bien tout simplement parce que depuis six ans, la maman de Fiona et Milla est pour ainsi dire sans possibilité de communiquer avec ses enfants! Et elle aimerait leur faire savoir qu'elle n'a pas arrêté le combat et qu'elle lutte de toutes ses forces pour les retrouver. La maman espère qu'avec cette action Fiona ou Milla auront l'opportunité de découvrir au hasard une affiche ou un flyer qui leur redonnera espoir.

Mettez vous un instant dans la peau de Fiona et Milla se sentant complètement abandonnées à leur sort étant donné qu'elle n'ont plus de nouvelles de leur mère depuis 6 ans déjà.

Je rappelle que Fiona et Milla n'ont même pas le droit d'entendre la voix de leur mère par téléphone! Les services de protection de la jeunesse Belge y faisant toujours obstacle alors que cela viole toute les lois internationales des droits de l'enfance.

Il faut le rappeler pour montrer à quel point la situation touche à l'infamie.

Les services Belges de protection de la jeunesse traitent la maman comme une grande criminelle. C'est pourtant une femme libre, a qui rien n'est reproché!

Imaginer que même de grands criminels comme Marc Dutroux ne sont pas coupés définitivement de contact avec leur famille.

Alors pourquoi un tel acharnement sur une femme innocente?

Il faut aussi rappeler que la procédure pénale pour viols sur mineurs et prostitution de mineurs contre le grand père paternel et le père sont en Italie; le grand père faisant déjà l'objet d'une inculpation pour pédo-pornographie et abus sur ses petites filles.

Voici un article qui vous donnera l'occasion d'avoir des nouvelles récentes du procès en Italie. Pour le lire cliquez sur le lien ou copier le dans la barre d'adresse

http://tevirepedo.droitfondamental.eu/?p=257



FIONA ET MILLA COMME OBJETS DE CHANTAGE PAR LES AUTORITES DE MONS-BELGIQUE (INTERVIEW EN 2007)


Message de MAOLONI MARIA-PIA à ses deux enfants, Fiona et Milla, le 21/12/2007 :

Ses deux enfants ont été rapatriées ILLEGALEMENT en Belgique, dans le milieu paternel pédophile, le 19 mai 2007; alors que la Cour de Cassation italienne révoquait ce rapatriement !!! La maman reste sans nouvelle de ses enfants depuis lors.





Depuis 9 ans, Madame MAOLONI Maria Pia, maman de Fiona (14 ans) et de Milla (10 ans) se bat pour protéger ses deux enfants contre les violences sexuelles qu’elles ont subies par leur père, ANTONINI Rocco et leur grand-père paternel, ANTONINI Roberto.


Mais sa bataille d’amour pour ses enfants a pris les couleurs sombres d’une lutte contre l’enfer et contre une protection mafieuse autour des ANTONINI et de leurs complices. En effet, l’enfant aînée a déclaré avoir été amenée par son père et son grand-père dans des lieux luxueux où étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants ; et qu’on les prenait en photo.

A Mons (en Belgique), les procédures judiciaires ont pris systématiquement une orientation en faveur des ANTONINI malgré un dossier impressionnant de documents et de témoignages en faveur de la crédibilité des dires de l’enfant aînée. ACTUELLEMENT, LES ENFANTS ONT ETE CONFIEES AU PERE EN BELGIQUE ET SONT INTROUVABLES !!!! MALGRE UN DOSSIER PENAL POUR VIOLS SUR MINEURS A CHARGE DU PERE ET DU GRAND-PERE PATERNEL TOUJOURS EN COURS, en Italie. LA MAMAN, QUI VIT EN ITALIE, N'A PLUS AUCUNE NOUVELLE DE SES DEUX ENFANTS DEPUIS 6 ANS!!!!

Au courant du mois de décembre, le SPJ (SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE ET DE L'AIDE A LA JEUNESSE) DE MONS convoque Maria Pia pour un entretien prévu le 20 décembre 2007.

Ne pouvant s'y rendre (elle est bloquée en Italie suite au mandat d'arrêt européen lancé par son ex-mari Rocco ANTONINI contre elle pour enlèvement d'enfants; alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!) ce sont les avocats des deux parties et le père, Rocco ANTONINI qui y sont présents.

Le directeur du SPJ de Mons (Belgique), Taoufik BENSAIDA, déclare durant cet entretien qu'un contact téléphonique sera autorisé entre Maria Pia et ses deux filles, Fiona et Milla le 21 décembre à 17h... Un simple coup de fil qui représente un soulagement et un espoir énorme, Maria Pia n'a en effet aucune nouvelle, aucun contact avec ses filles depuis le 19 mai 2007 !!! Tout contact même téléphonique ayant été refusé par le père et ses avocats, Maître BARTHELEMY Jean-Emmanuel et Maître DEPETRIS Nathalie, avocats au Barreau de Mons.

Le lendemain, au lieu d'avoir comme convenu ses filles au bout du fil, elle parlera à Monsieur BENSAIDA qui lui explique qu'elle doit cesser la "guerre" si elle espère revoir ses filles. Monsieur BENSAIDA lui aurait suggeré de retirer ses plaintes de pédophilie à charge du père et du grand père paternel, ainsi que le rapporte la chaine de TV Nuova TVP et d'autres journaux de la presse Italienne..

En Italie, Maître TAORMINA C. est l'avocat de MAOLONI Maria-Pia. Maria-Pia a le soutien de plusieurs associations internationales

Cet appel doit servir à sensibiliser tous les citoyens pour pouvoir aider la maman à retrouver ses deux enfants et à les sauver de cet enfer!

Afin de créer cette solidarité autour des deux enfants, une pétition on line a été réalisée :

http://www.petitiononline.com/mariapia/petition.html

MERCI AU NOM DE FIONA ET DE MILLA,
DEUX AGNEAUX LIVRES AUX LOUPS!




INTERVIEWS DE MARIA PIA POUR LA TELEVISION ITALIENNE

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Pédophilie Belgique : au coeur d'un système, interview Maria-Pia Maoloni / 2012-2013

 INTERVISTA PER VERA TV, IL 23/03/2013 (in italiano):


http://vimeo.com/63661323


INTERVISTA PER VERA TV, IL 25/11/2012 (sous-titrage en français) :

http://www.youtube.com/watch?v=En8_WE43bSM


MA DERNIERE INTERVIEW POUR LA TELEVISION ITALIENNE (VERA TV, 25/11/2012) TRADUITE ET SOUS-TITREE EN FRANCAIS(pour voir le sous-titrage, cliquer sur la petite case rectangulaire sur le player, tout en bas du video). 
MERCI DE DIFFUSER A VOS CONTACTS.


 LE IENE, TV NATIONALE ITALIENNE MEDIASET,
 LE 24 03 2010 (sous-titrée en français)

ENREGISTREMENT CHOC DES CONFIDENCES
DE FIONA AGEE DE 4 ANS 1/2, SUR LES VIOLENCES SEXUELLES QU'ELLE A SUBIES

INTERVIEW DU PERE(ROCCO ANTONINI) ET DE BENSAIDA TAOUFIK, DIRECTEUR DU SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE MONS/BELGIQUE - MESSAGE DE MARIA-PIA POUR SES ENFANTS 


http://www.dailymotion.com/video/xd5koc_pedophilie-et-rituel-que-fait-la-ju_news?search_algo=2








PARTIE 1 : TRIBUNAL DE MONSTRES

http://www.dailymotion.com/video/xb0rph_tribunal-de-monstre-video-1-sur-2-a_news



PARTIE 2 : TRIBUNAL DE MONSTRES

http://www.dailymotion.com/video/xb0so7_tribunal-de-monstre-video-2-sur-2-a_news




PARTIE 3: TRIBUNAL DE MONSTRES




Message de Maoloni Maria-Pia a ses filles (NuovaTVP)decembre 2007: CHANTAGE DU SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE MONS/BELGIQUE






inculpation d'un belge pour pedopornographie et abus sexuels (nuova tvp) décembre 2008/2009

http://www.youtube.com/watch?v=mN82ZTGnlK0



Renvoi en justice d'un grand-père belge (nuova tvp) juillet/aout 2008

http://www.youtube.com/watch?v=wfJ5GIFxK7o



AFFAIRE FIONA ET MILLA : RESEAUX PEDOPHILES EN BELGIQUE

VIDEO 1


VIDEO 2


VIDEO 3

VIDEO 4




APPELLO AL MINISTRO DEGLI AFFARI ESTERI ITALIANO, FRATTINI : 20/01/2011



Bimbe belghe contese, la decisione alla Cassazione


San Benedetto - Bimbe belghe contese, nonno a giudizio




INTERVIEW DE MAOLONI MARIA PIA POUR STUDIO APERTO-MEDIASET (TELEVISION NATIONALE ITALIENNE), LE 25/07/2008

Voir le video sur :

http://www.video.mediaset.it/video.html?sito=studioaperto&data=2008/07/25&id=38426&categoria=edizione/servizio&from=email



San Benedetto - Intervista a Maria Pia Maoloni





San Benedetto - Compleanno della mamma delle bimbe belghe




San Benedetto-Petizione al Parlamento Europeo per la Maoloni

QUAND LE DIABLE OPERE : CORRUPTION ET COMPLICITE PEDO-CRIMINELLE

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Quand le diable opère, c’est avec le glaive de l’AMOUR qu’il faut le combattre !!


 Ce vendredi 14/12/2012, j’avais un contact via skype avec mes deux enfants, FIONA (13 ans) et Milla (9 ans) qui m’ont été arrachées de façon ILLEGALE et INHUMAINE depuis plus de 5 ans et demi (depuis le jour de leur rapatriement en Belgique, le 19/05/2007).

L’heure du rendez-vous était fixée pour 16H15 dans les bureaux des services sociaux de Ancona (Italie).

Pour rappel, les autorités belges et plus précisément le tribunal de Mons (Belgique) m’ont privé de tout contact (même téléphonique) avec mes enfants depuis le jour de leur rapatriement en Belgique ; c’est-à-dire depuis 2007.  En d’autres termes, je suis restée sans nouvelle de mes petites durant 5 ans, nonobstant la décision de la Cassation italienne qui révoque le rapatriement de mes enfants en Belgique et qui, donc, le considère comme illégitime ! 
Mais le comble de l’horreur et de la folie humaine, est que, malgré des procédures pénales ouvertes (en Belgique et en Italie) contre le père (ANTONINI ROCCO) et le grand-père (ANTONINI ROBERTO) pour viols et prostitution de mineurs, le tribunal de Mons et ses services judiciaires (SOS ENFANTS de Mons et SPJ de Mons) ont confié mes enfants à leurs bourreaux sexuels en toute impunité et sans aucune protection !!!!!!
Les enfants sont TOUJOURS ACTUELLEMENT en Belgique,  dans le milieu paternel pédophile !
Malgré mes diverses tentatives et requêtes émises envers les autorités belges afin de pouvoir obtenir des contacts avec mes enfants, ceux-ci me sont finalement accordés en MARS 2012 ; mais un seul quart d’heure pour chaque enfant, par téléphone ou via web-cam (skype),  à raison d’une fois par mois !


Ce vendredi, j’arrive donc à l’avance (vers 15H30), à Ancona, heureuse de pouvoir « voir » sur skype, mes deux magnifiques trésors et de pouvoir leur exprimer tout mon amour avant les fêtes de Noël…
La Directrice des services sociaux, Madame Giunto, arrive en même temps que moi et nous entrons ensemble dans son bureau.  Elle allume son ordinateur et essaie de se connecter en ouvrant skype.  Hélas, après maintes et maintes tentatives qui ont duré plus d’une demi-heure, skype ne s’ouvre pas ! Madame Giunto m’explique, avec une immense déception, qu’il s’agit sûrement d’un problème de connexion intra-net.  Moi, paniquée, lui demande d’essayer de nouveau.  Mais en vain ! Pas d’internet !

16H15, Mme Giunto téléphone à Mme VAN TRIMPONT Sabine, directrice de l’espace-rencontre à Mons et lui explique le problème de connexion internet.
Mme Giunto demande gentiment à Mme Van Trimpont que je puisse  parler avec mes enfants par téléphone ce jour-même mais qu’elle puisse prévoir un autre rendez-vous afin d’effectuer ce « contact visuel » qui n’a pu s’établir comme prévu avec les enfants et la maman !

Cette proposition a complètement destabilisé Mme Van Trimpont et donc, celle-ci refuse catégoriquement.  Elle va même jusqu’à refusé que je puisse, ce vendredi, parler par téléphone avec mes enfants ; ceci en trouvant différentes excuses (par exemple : les enfants sont dans une autre pièce de la structure ; on ne peut mobiliser la ligne téléphonique du service…).
Moi, dégoutée de cette situation, j’insiste auprès de Van Trimpont pour parler avec mes enfants… Avec difficulté, elle finit par accepter en disant : « ok, mais seulement 5 minutes pour leur dire « bonjour et aurevoir » »… REVOLTANT !!!! INHUMAIN !!!!
Mais ces gens n’ont-ils aucune empathie, aucune sensibilité à notre souffrance et surtout à celle de mes deux enfants, séparées de leur maman depuis tant d’années ???

Difficile de se contrôler et de garder son calme devant une telle cruauté et une telle déshumanisation !
Je la prie...  Je la supplie, avec toutes les larmes de mon corps, pour qu’elle accepte de me faire parler avec mes enfants, à raison du quart d’heure prévu…
« Je fais appel à son cœur de MAMAN !!! », lui dis-je, désespérée et vidée de toute mon énergie vitale ! Mais RIEN A’ FAIRE ! Van Trimpont ne veut rien entendre !

A ce moment, intervient Mme Giunto et lui précise que le jugement de la cour d’appel de Mons n’interdit aucunement les contacts téléphoniques entre la maman et les enfants…

A ce moment, Van Trimpont change d’avis et finit donc par accepter.

C’est avec un cœur déchiré et tant de larmes versées que j’ai pu finalement obtenir ces quelques minutes magiques, au téléphone,  avec mes deux amours ; et pouvoir ainsi leur exprimer tout l’amour que je leur porte,  et qu’à chaque seconde qui passe, elles sont continuellement dans mes pensées et dans mes prières…

Dans quel monde sommes-nous ?

Quand le cœur ne fonctionne plus et fait place à l’indifférence pour autrui, c’est le début de la fin de l’ humanité !
Quand on dépasse la mesure de la sensibilité humaine, il n’y a plus aucune limite à la folie des hommes !

Mais je veux encore espérer…. continuer encore à croire que …
quand le diable opère, c’est avec le glaive de l’AMOUR qu’il faut le combattre !!


MAOLONI Maria-Pia,
MAMAN de Fiona et Milla
Italie, 16/12/2012
http://fionaetmilla.blogspot.com/

TRADUZIONE ITALIANA 

Quando il diavolo opera, e’ con la spada dell’AMORE che dobbiamo combatterlo !


 Questo venerdi 14/12/2012, avevo un contatto via skype con le mie due bambine,
FIONA (13 anni) e MILLA (9 anni) che mi sono state strappate in un modo ILLEGALE E DISUMANO da piu’ di 5 anni e mezzo (dal giorno del loro rimpatrio in Belgio, il 19/05/2007).

L’ora dell’appuntamento era fissata per le 16.15 negli uffici dei servizi sociali di Ancona (Italia).

Per ricordare, le autorità belghe e piu’ precisamente il tribunale di Mons (Belgio) mi hanno privato di ogni contatto (anche telefonicamente) con le mie bambine dal giorno del loro rimpatrio in Belgio ; ovvero da 2007.  Quindi, sono rimasta senza notizie delle mie figlie durante 5 anni, nonostante la decisione della Corte di Cassazione italiana che revoca il rimpatrio delle mie bambine in Belgio e che lo considera comme illegitimo !
Ma il massimo dell’orrore e della folia umana e’ che, nonostante le procedure penale aperte (in Belgio e in Italia) contro il padre (ANTONINI ROCCO) e il nonno (ANTONINI ROBERTO) per stupri,  prostituzione di minori e detenzione di materiale pedo-pornografico, il tribunale di Mons e i suoi servizi giudiziari  (SOS ENFANTS di Mons e SPJ di Mons) hanno affidato le mie bambine ai loro carnefici sessuali in tutta impunità e senza protezzione !!!!
Le mie  bambine sono TUTT’ORA in Belgio, nel contesto paterno pedofilo !
Malgrado le mie diverse tentative e richieste emesse alle autorità belghe per potere ottenere dei contatti con le mie figlie, questi mi sono stati finalmente accordati in MARZO 2012 ; ma solo per un quarto d’ora per ogni bambina, per telefono o web-cam (skype), una volta al mese !

Questo venerdi, arrivo di anticipo (verso le ore 15.30), ad Ancona, felice di potere « vedere » su skype, i miei due magnifici tesori e di poterle esprimere tutto il mio amore prima delle feste di Natale…
La Direttrice dei servizi sociali di Ancona, la Dottoressa Giunto, arriva allo stesso momento di me e entriamo insieme nel suo ufficio.  Accende il suo computer e prova di connettersi aprendo skype.  Ahime, dopo numerose e numerose tentative che hanno durato piu’ di una mezzo ora, skype non si apre ! La Dott.ssa Giunto mi spiega, con un immenso dispiaciuto, che la causa e’ dovuta sicuramente ad un problema di connessione intra-net.  Io, angosciata, le chiedo di provare  di nuovo.  Ma nulla da fare ! Nessuna conessione internet !

Ore 16.15, la Dott.ssa Giunto telefona alla signora VAN TRIMPONT Sabine, direttrice dell’Espace-Rencontre di Mons (Belgio) e le spiega il problema di connessione internet.
La Dott.ssa Giunto chiede gentilmente alla signora Van Trimpont che io possi parlare con le bambine al telefono questo giorno stesso, ma che lei prevede un altro incontro per potere effettuare il « contatto visivo » che non si e’ potuto stabilire come previsto con le bambine e la loro mamma !

Questa proposta ha completamente destabilito la Van Trimpont e quindi, lei la rifiuta categoricamente.  Lei va anche a rifiutare che io possi, questo venerdi, parlare al telefono con le mie bambine ; trovando diverse scuse (per esempio : le bimbe sono in un’altra stanza della struttura ; non si puo’ mobilizzare la linea telefonica del servizio…).

Io, disgustata di questa situazione, insisto alla Van Trimpont per parlare con le mie bambine… Con difficoltà, finisce ad accettare dicendo : « Ok, ma solo 5 minuti per dirle « buongiorno e arrivederci » »….. VERGOGNOSO !! DISUMANO !!!
Ma questa gente non ha nessuna empatia, nessuna sensibilità alla nostra sofferenza e sopratutto a quella delle mie bambine, separate dalla loro mamma dopo tanti anni ???

Difficile di controllarsi e di mantenere la calma davanti a tanta crudeltà e tale desumanizzazione !
La prego… La supplico, con tutte le lacrime del mio corpo, chiedendole di farmi parlare con le mie bambine, il quarto d’ora previsto….
« Faccio appello al suo cuore di MAMMA !!! », le dico, disperata e vuota di tutta la mia energia vitale ! Ma NULLA DA FARE ! Van Trimpont non vuole sentire nulla !

A questo momento interviene la Dott.ssa Giunto e precisa alla Van Trimpont che la sentenza della corte d’appello di Mons non proibisce i contatti telefonici tra la mamma e le bambine…

A questo punto, Van Trimpont cambia la sua decisione e finisce per accettare.

E’ con un cuore strappato e tante lacrime versate che ho potuto finalmente ottenere questi pochi minuti magici, al telefono, con i miei due amori ; e potere cosi esprimere  tutto l’amore che porto per loro, e che ad ogni secondo che passa, loro sono continualmente nei miei pensieri e nelle mie preghiere…

In quale mondo siamo ?

Quando il cuore non funziona piu’ e lascia il posto all’indifferenza per gli altri, questo e’ l’inizio della fine dell’umanità !
Quando superiamo la misura della sensibilità umana, non c’e’ piu’ nessuna limite alla folia degli uomini !

Ma voglio ancora sperare… continuare ancora a credere che…
quando il diavolo opera, e’ con la spada dell’AMORE che dobbiamo combatterlo !


MAOLONI Maria-Pia
MAMAN de Fiona et Milla
Italia, 16/12/2012
http://fionaetmilla.blogspot.com/


PHOTOS: FIONA, MILLA ET MAMAN PIA

INTERVIEW A LA RADIO ITALIENNE DE MAOLONI MP ET TEMOINS IMPORTANTS

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RADIO L'ISOLA CHE NON C'E': 07/04/2010

Pour écouter l'interview de Maria-Pia:

http://www.radiolisolachenonce.com/programma/buonasera070410.mp3


RADIO CENTRO SUONO SPORT/ROMA : 20/02/2009

INTERVIEW DE MAOLONI MARIA-PIA, LA MAMAN DE FIONA ET DE MILLA ANTONINI A LA RADIO "CENTRO SUONO SPORT - ROMA", LE 20 FEVRIER 2009.

AUTRES PERSONNES INTERVIEWEES : L'EX-MINISTRE DE LA JUSTICE ITALIENNE, CLEMENTE MASTELLA; L'ENSEIGNANTE ITALIENNE DE FIONA, MADAME CAPRIOTTI; LE GRAND-PERE PATERNEL DES ENFANTS, ANTONINI ROBERTO ET LE TEMOIN FRANCAIS,MADAME MYRIAM LUTRINGER, QUI A RECONNU FIONA DURANT DES FETES ET CEREMONIES SEXUELLES EN PRESENCE D'AUTRES ENFANTS ET ADULTES QUI ABUSAIENT DE CEUX-CI.

POUR ECOUTER L'INTERVIEW, ALLER SUR LE BLOG SUIVANT:

http://www.dalpaesedeibalocchi.com/?p=2251

INTERVIEW TRADUITE EN FRANCAIS

-Bonjour, bonjour Giuseppe Lemonaco
-Bonjour à tous.
-Alors, c'est une histoire absolument choquante, que nous avions trouvée, Giuseppe et la radio,
en cherchant à comprendre comment ce monde de la pédophilie n'est pas un monde hasardeux,
ou il peut y avoir(se buescere) un malade un peu comme il peut y avoir un serial killer avec des problèmes psychologiques graves d'une part voulant être plus royaliste que le roi .Ce serait comme un accident qui peut arriver, une maladie, ou quelqu’un se sent mal, ou cette maladie l'induit à faire des saloperies terrifiantes comme un serial killer peut assassiner une femme ou encore un pédophile de la violence sur un enfant. Si c'est comme ça, que pouvons nous faire? Rien.
Mais ce n'est pas comme ça, c'est ça le problème. Ce n'est pas comme ça, je le répète, parce que si c'était (romati?) que dois-je faire? Quand un loup comme on l'appelle a trouvé un enfant et lui fait des choses terribles propres à un malade, que pouvons nous faire avec un malade? Comment ça fonctionne? Je peux décider qu'il faut traiter cette maladie mais ce n'est pas comme ça,
ils sont ORGANISES, et alors il .... S’ils sont organisés, il n'y a pas de thérapie?. Parce que l'organisation paye tout, parce que une personne (fuerdisse) parce que une personne ... qui s'organise , Parce que l'organisation s'occupe de tout c'est tout le contraire. Alors maintenant attention, si vous êtes avec des enfants à la maison, parce que c'est une histoire brutale, c'est lourd. Mais l'histoire, je vais l'expliquer, et cela autant pour faire arriver à cet organigramme européen de ce monde.
-Oui, c'est indispensable de faire une considération pour arriver à cette histoire, La première considération que je dois faire c'est que dans chaque cas, quand on découvre un cas de pédophilie, c'est toujours le fait de la compulsion d'un seul maniaque. On n 'a jamais trouvé d'une organisation, comme si c'était tout à fait erroné d'envisager une organisation, un réseau de personnes organisées dans ce sens.
Et pour le marché de la pédophilie sur internet et des vidéocassettes de pédo-pornographie...
-C'est une réalité
-C'est une réalité et cela fait tourner une des plus grandes économies qui, entre autres, de snuff-movies, ces films dans lesquels les protagonistes meurent pour de vrai. Tout ce (?) est totalement réel. Cet enfer, ce type d'expérience, et ce type d'activité, est aussi économique en plus de criminelle. Nous avons la contribution de l'histoire d'une femme qui a découvert l'enfer dans sa propre maison, qui a commencé avec une réalité, une mère qui allait de plus en plus mal ...
de sa fille, la majeure, elle a découvert peu à peu, une nouvelle très douloureuse, qu'il s'agissait d'un réseau, et non pas du fait d'un seul maniaque. Cette introduction était nécessaire parce que l'histoire est compliquée, elle s'articule ...; ce sont des témoignages tout à fait authentiques,
pour permettre de bien comprendre nous avons divisé l'histoire en trois phases,
la première d'entre elle explique comment la chose a été découverte, comment tout a commencé.

Novembre/Décembre 2004:
Maria Pia Maoloni commence à observer un déclin général des conditions de sa fille aînée, Fiona, de seulement 4 ans. Cette enfant commence à souffrir de stades dépressifs, de cauchemars nocturnes et d'anémie grave, et de (improvisa).

24 Janvier 2004:
Fiona décide de révéler son secret à la mère, désormais préoccupée par la situation de sa fille,
elle lui fait dessiner les cauchemars qui l'empêchent de dormir, des dessins troublants, reproduit la chambre du grand père en racontant avec son langage innocent que le grand père, dans cette chambre, s'est déshabillé devant elle, Maria Pia Maoloni est choquée.

25 Janvier 2004:
Fiona continue à dessiner et à raconter, cette fois parmi les protagonistes il y a aussi le père, Rocco Antonini. Le père et le grand père l'ont emmenée faire des visites dans différents châteaux de Belgique, ou ils la faisaient participer à des fêtes avec d'autres enfants et d'autres adultes.
Au cours de ces fêtes, on administrait à tous les enfants un étrange sirop rose qui les endormait,
puis ils les emmenaient dans les chambres à coucher pour les faire jouer à des jeux auxquels ils ne voulaient pas jouer, mais qu'ils étaient obligés de faire, Maria Pia Maoloni est pétrifiée.
Elle prend courage et parle à son mari, qui naturellement, nie tout.

1 Février 2004:
Rocco Antonini décide de jouer l'anticipation, il demande conseil à son père, le grand père des enfants, et accuse immédiatement la mère d'aliénation parentale, ainsi, comme l'aurait fait son père,
seulement 3 jours plus tard, le 4 février 2004, la mère en revenant à la maison trouve la serrure de la maison changée, quand finalement elle arrive à entrer, elle trouve ..., la vidéocaméra, la photocaméra et un ordinateur, un autre était enfermé dans une armoire dont elle n'a pas la clé, avec l'aide d'un technicien informaticien, ... il est parvenu à trouver des données effacées de la mémoire
des photos d'adultes occupés à des pratiques sadomasochistes, des photomontages avec comme figurants, Roberto Antonini qui pratiquait des activités sexuelles avec ses parents et des centaines de photos d'adultes et d'enfants dans des pratiques interdites.

5 février 2004:
Maria Pia Maoloni dénonce le mari, Rocco Antonini, et de son père, Roberto Antonini, pour attouchement et attentats à la pudeur de mineurs. Dans les jours qui suivent, les deux enfants révèlent des troubles physiologiques et psychologiques, fissures anales, déchirements anaux postérieurs, irritation de la vulve et percement de l'hymen, Fiona, l'ainée a subi des abus.
Pour confirmation, elle fait un témoignage de sa propre initiative à la psychologue qui la suivait,
« Papa a mis son pénis dans ma bouche, Papa a fait des choses méchantes, il a dit que c'était un jeu. J'ai serré le zizi de papa très fort puis je l'ai mordu a raconté l'enfant. »

Alors, de manière à essayer de comprendre toutes ces choses, la protagoniste de cette histoire, la mère, Maria Pia Maoloni, nous raconte son témoignage. Cette femme qui vit à Mons, en Belgique, elle est d'origine italienne, elle a des parents de la région des Marques. Le mari, qui s 'appelle Rocco Antonini et du père du mari, Roberto Antonini vivent en Belgique mais le grand père a encore la nationalité italienne. Les deux filles s'appellent Fiona et Mila, et sont donc les filles de Maria Pia Maoloni et de Rocco Antonini. Les choses qui ont été dites sont très nombreuses, et ont été comprises peu à peu, grâce aux dessins.
-Je voudrais dire une chose, nous avons limité le récit, car il y a tant de choses, à l'horreur il n'y a pas de limite, et nous avons évité de dire certaines choses, parce qu'il y en a tant, même si vous avez pu entendre des choses déjà très dures. Cela juste pour faire comprendre qu'il y a beaucoup, beaucoup plus. Mais cela permet de comprendre un peu la situation, approfondir le sujet deviendrait morbide.
-Une autre chose importante à savoir, c'est que les deux Antonini ont des antécédents pénaux pour une histoire de faux. Le grand père, qui a été convoqué plusieurs fois pour cette affaire a essayé de démentir, et le fils aurait participé aux trafics de tableaux, dans un cercle de personnes liées qui écoulaient ces tableaux, ils ne les vendaient pas en rue.
Une autre chose, quand j'ai connu madame Maoloni, j'ai pu accéder aux archives d'un ordinateur qui était resté dans la maison, après que le mari tente de vider la maison, en emmenant l'ordinateur portable et les vhs, . Mais dans un autre ordinateur, même si vous effacez toutes les images, les fichiers et la chronologie des sites qui ont été visités, il est cependant toujours possible de retrouver ces informations. Tout cela reste quelque part dans l'ordinateur. De tous les ordinateurs qui étaient dans la maison, un seul est resté, le reste a été emmené par le mari. J'ai vu les photos de cet ordinateur de mes propres yeux, qui sont des photos d'adultes occupés à des activités sadomasochistes, des photos de torture, des photomontages avec des figurants, la tête de Roberto Antonini avec sa tête à la place d'acteurs pornos, occupé à des pratiques sexuelles avec le père.
Des photomontages de lui et du père, occupés à des pratiques sexuelles,
Mais qui les a réalisées?
Lui
Il les envoyait à plein de parents,
Nous parlons d'une personne qui ne peut pas être jugée normale..
 Une autre chose très étrange ...Il y avait dans cet ordinateur des photos de centaines d'enfants, non pas en activité sexuelle avec qui il n'avait pas de rapport de parenté. Cela doit sûrement refléter quelque chose. On peut imaginer la sensation qu'a pu avoir Maria Pia Maoloni quand elle a découvert cela. Elle a emmené les enfants voir un médecin, un gynécologue, un psychologue, ...
-L'expertise est lourde, très lourde. Elle est plus centrée sur une analyse psychologique pour faire comprendre que l'enfant était spontanée, c'est ce qui est ressorti de plusieurs rapports. Nous n'allons pas rentrer dans une description technique pour ne pas être morbides parce que c'est vraiment difficile d'entendre cela.
Nous allons écouter l'expertise faite à partir du témoignage de Fiona:
-D'après l'expertise faite par la psychologue Piazza Pearle, le 7 juin 2004 :
Fiona ne se sent pas maitre de sa vie, elle rejetait toutes discussion concernant sa relation avec son père et son grand-père. Il s'est installé avec le temps une relation de confiance, Fiona a trouvé la force de parler du père et du grand-père. L'enfant serait susceptible d 'être en situation de danger au domicile paternel. Dans l'intérêt de celle-ci il serait préférable de limiter les visites dans un espace
de rencontre. D'après le rapport du médecin Murillo Perdormo, le 23 mars 2006, envoyé aux autorités belges:
-Ce qui m'a motivé à prendre Fiona en traitement psycho-thérapeutique, ça a été à cause de sa grande souffrance qui résulte d'un traumatisme que j'ai pu découvrir peu à peu, la cohérence et la permanence dans le temps de ces récits d'abus sexuels et autres abus sexuels vécus et l'évocation spontanée donnent une grande crédibilité à ses paroles. L'enfant a raconté spontanément ce qui suit:
sans que je ne lui demande rien, elle montrait une gravité indiscutable, par obligation de la loi, et dans le but de protéger sa santé mentale, je vous fait part d'une partie de ses récits:
« papa a fait pipi dans sa culotte, après il a montré son zizi qui était tout gluant, je l'aime bien, mais il a été très méchant avec moi. Papa et papy m'ont emmenée dans un grand château, depuis les tours, on voyait des drapeaux, il y avait beaucoup de belles petites filles, elles étaient habillées avec de belles robes de mariées et elle étaient bien maquillées comme des femmes. Elle a raconté avec la bouche qui tremblait, que le père rentrait dans son lit le soir en slip et lui caressait les parties intimes, ainsi que sa sœur Milla. Elle a dit qu'elle ne devait pas parler de ça parce qu'elle avait peur que l'on fasse du mal à son papa.»

Selon moi, ce type de pratique n'est pas le fait de personnes malades mais de personnes qui faisaient cela consciemment de manière organisée. Toutes ces horreurs sont nécessaires pour sensibiliser tous les gens qui sont candides et qui n'y croient pas, Mais c'est bon, je ne parle pas de cas particuliers, je parle du phénomène en général, et si une telle chose se produit, c'est l'œuvre d'un fou. Bien, alors suite à tous ce que vous avez entendu, essayez de penser, d'imaginer comment fait un enfant d'un si bas âge pour imaginer des choses qu'elles ne devraient découvrir qu'à l'adolescence quand elles comprendra ce qu'est le sexe.
-C'est un processus naturel.
-Il y a aussi des enfants un peu plus précoces que les autres, vers 14, 15 ans, mais ici, on parle d'une fille qui avait 3 ans. Donc soit la maman est complètement folle, et elle les met au courant de ce genre de situation, pour on ne sait quel motif, soit toutes ces choses sont vraies.
-Je voudrais demander à Adriano une petite explication sur la structure de l'émission. Nous allons placer l'interview de la maman après. Pour quelle raison? Parce que la maman raconte des choses d'anticipation sur l'affaire au lieu d'expliquer, elle fait référence à des événements ultérieurs, c'est pourquoi nous l'avons placée en deuxième partie.

30 Mars 2005:
Le jugement du tribunal de Mons est rendu, qui donne la garde principale à Maria Pia Maoloni, la mère des enfants, et laisse la possibilité au père Rocco Antonini de voir les enfants deux week-ends par mois et pour toutes les vacances scolaires sans aucune mesure de contrôle. Cependant, il existe toujours un dossier pénal pour attouchements sur mineurs contre le père.

12 Juin 2006(lundi):
Les deux filles rentrent de l'école, après deux jours à la maison du père, Fiona se plaint d'une forte douleur vaginale, Maria Pia Maoloni amène sa fille immédiatement chez le pédiatre, qui trouve une forte irritation de la vulve. Cette fois aussi, l'enfant enlève tous les doutes: « Papa a mis sa main dans ma culotte » a-t-elle dit au pédiatre.

17 Juin 2006:
Un autre médecin rend visite aux enfants mais les résultats ne changent pas,
Il diagnostique que la cause de l'irritation est une vulvite.

5 Juillet 2006(lundi):
Les enfants reviennent d'un week-end passé avec le père,
Fiona a une douleur très forte à l'anus, le docteur change a nouveau mais pas la réalité tragique que l'on peut imaginer. Le médecin diagnostique une fissure anale, et fiona raconte que le papa lui a introduit un doigt dans l'anus.

-Nous sommes arrivés à un point de l'histoire auquel Madame Maoloni devait rendre visite aux enfants dans un institut dans lequel elles avaient été placées, cependant elle devait accepter que le père puisse voir les filles un week-end sur deux sans aucune forme de contrôle et cela en dépit de ce type d 'accusation très grave. Elle devait accepter ce genre de compromis, on pourrait penser que la situation aurait poussé le père à arrêter, mais à chaque fois que les enfants revenaient d'un séjour avec le père, elles se plaignaient de douleurs. Et on accuse le médecin de connivence avec Maria Pia Maoloni. Mais ce n'était pas tous des médecins de confiance, il y avait aussi des médecins qu'elle ne connaissait pas.
-Mais explique-moi une chose, même si elle était avec un médecin de confiance, pourquoi ferait-il une fausse déclaration? Pour quoi faire?
-Je me pose les mêmes questions.
-C'est une question intéressante, mais le problème est ailleurs. J'ai ressenti une décharge de mille volts avec Giuseppe Lemonaco, mais combien de choses avons nous du enlever?
-Tellement de choses.
-On l'a adoucie, on a enlevé tellement de choses. Il y a sûrement tellement plus. Mais quoi qu'il en soit, pour essayer de comprendre ce dont on parle, nous allons écouter l'interview de Maria Pia Maoloni, à propos de ses enfants, ce discours et l'irritation qui en résulte, car c'est assurément pénible de ne pas réussir à prouver les tords causés, c'est une arme en plus, pour parler de la pédophilie parce que c'est une chose aberrante, et la conscience ne peut pas comprendre; mais à un certain moment il est juste de faire l'effort et de résister à la violence de ce type de nouvelle et de l'information en général, parce que ces choses existent, et on doit les combattre en en parlant; ne pas en parler ne peut qu'encourager la prolifération.
-C'est pire, car on parle beaucoup des émergences en Italie, de l'émergence du vol, de l'émergence ?, l'émergence roumaine, l'émergence turque, ou pour l'émergence de la drogue, tellement d'émergences qui peuvent surgir dans une nation, ça a plus de sens de parler de l'émergence de la pédophilie. On préfère arrêter un kidnappeur d'enfant qu'un voleur. Il faudrait faire la lumière sur cette affaire. Sauf qu'ici on ne fait rien et j'ai connu des policiers, qui m'ont dit:
Je m'étais mis à faire ce travail mais j'en suis parti, dégouté, des films que je trouvais, des photos que je voyais, mais surtout j'étais dégouté parce qu'on ne rendait pas justice et qu'on laissait ces gens en liberté. J'ai demandé à un commissaire et deux policiers qui m'ont répondu (qu'il ne pouvait pas parler de cela?), parce que c'est un monde maudit, et que quand on y rentre on n'en sort plus.
Alors pourquoi le fait-on? Parce qu'on veut que vous compreniez bien qu'il s'agit d'un milieu organisé, de super-délinquants et non de maniaques, un monde de super-délinquants dans lequel il peut y avoir un maniaque isolé, mais qui reste organisé, je veux faire comprendre qu'il s'agit d'une organisation énorme, bien , abrégeons,
-Nous avons fait jusque ici des observations neutres pour expliquer l'affaire, maintenant voici l'explication de la maman qui va nous raconter une partie de son histoire.

INTERVIEW DE LA MAMAN : MAOLONI MARIA-PIA

-Bonjour, merci beaucoup pour votre disponibilité pour répondre à cette interview.
-Bonjour à tous.
-Pour comprendre cette histoire, nous allons le faire avec beaucoup de délicatesse, nous voudrions partir du moment ou vous vous êtes aperçue que dans votre vie il y avait des anomalies et que ces anomalies concernaient vos enfants.
-Quand ma fille, Fiona, l'aînée, avait trois ans et demi, elle était toujours malade, elle allait quatre fois par semaine chez le médecin et son comportement avait changé, elle faisait beaucoup beaucoup de cauchemars, elle était devenue anémique, elle ne mangeait quasiment plus. Les éléments qui m'ont fait comprendre ont été ses dessins, elle a commencé à dessiner une chambre, et elle a expliqué que c'était son grand-père paternel qui l'invitait à chaque fois, il l'invitait dans la chambre, il faisait des jeux, elle donnait une description bien précise de l'anatomie masculine, et je lui ai dit: »Mais Fiona, tu as vu ton grand père aller aux toilettes? »Elle a dit, « Non, maman, les toilettes se trouvent en bas. »
Et ma fille m'a dit: « Tu sais maman, j'ai des secrets dans mon ventre qui me parlent de papa. Elle a commencé à me dire que quand j'allais travailler, il lui donnait des bains, qu'il allait avec elle dans la baignoire, qu'il faisait des jeux et qu'elle n'aimait pas ces jeux là. Son père lui disait que si elle racontait des choses comme ça, sa maman ne la croirait pas, et qu'elle se fâcherait. Ma fille, lorsqu'elle a vu que j'avais une attitude sereine a commencé a raconter, avec tellement de détails.
-Depuis le moment où vous vous êtes rendu compte de ces choses, qui ont commencé à se détailler,
vous avez amené les enfants à des spécialistes et des médecins?
-Oui, je les ai emmenées chez un pédiatre au urgence qui a examiné l'enfant, il a constaté une vulvite grave, avec des lésions, et il a demandé à Fiona pourquoi elle avait mal, je n'étais pas présente, j'étais dans le couloir,
et l'enfant a parlé de ce que lui faisait le père, et ce pédiatre a fait un rapport, et c'était un pédiatre des urgences. Il ne connaissait pas la famille, ce n'était pas le médecin de famille, et il a fait un compte rendu le 5 juillet 2006, vaginite, vulvite, avec un gonflement des parties génitales,
-Sans trop entrer dans les détails, nous aimerions comprendre, après avoir constaté que votre fille avait été abusée, et cela ayant été confirmé par l'avis d'un médecin expert, quelle a été la réaction des institutions belges?
-Je ne veux pas dire que les institutions belges sont toutes très négligentes, je ne veux pas généraliser et dire que toutes les institutions en Belgique sont négligentes ou ne font pas leur devoir mais ce que je suis obligée de constater c'est que leur réaction a été tout le contraire de ce que j'espérais, ils ont tout retourné contre moi, ils ont dit que c'était moi en fait qui avais fait tout cela à mes filles, et que c'était moi la criminelle, en fait, .
-Et j'imagine que pour vérifier votre position, la loi vous a demandé de faire une expertise psychologique?
-J'ai fait plusieurs expertises psychologiques, 2 en Italie et 4 en Belgique,

-Cela est donc confirmé. Voulez-vous nous faire comprendre la chose suivante? Moi, il m'a semblé que dans cette situation, du fait qu'ils ont retourné la situation contre vous, et c'est un peu ce qui est en train d'arriver à Rignano, je parle de l'opinion publique, et sans faire de rapprochement entre les accusés. Les journalistes ont dit la même chose que cette femme, les mêmes pressions psychologiques, que c était de sa faute. C est systématique, parce que c est ponctuel. Ils accusent le parent de faire des pressions psychologiques sur la fille. Le revirement arrive de manière ponctuelle, et ils arrivent presque a obtenir la confession de choses qui en théorie n existent pas.

-Tous, a l’unanimité disent que je suis une personne équilibrée, saine, normale, adaptée a la réalité, que je ne représente aucun danger ni pour les enfants ni pour moi, ni pour les autres et la société. Au début je pensais que c était un problème de négligence ou d’ incompétence de ces personnes, mais après cinq ans, je comprends que c’est une protection par rapport aux Antonini, ils veulent les protéger parce qu’il y a d autres personnes appartenant a ce réseau et dont l’identité ne doit pas etre révélée. On parle d un réseau alors qu’on croyait qu’il s agissait du délire d’ un seul maniaque, d’un seul pédophile, mais donc qu’est ce qui vous fait penser qu’il s agit d une réelle organisation, d un réseau ?
-Je n’ai plus aucun doute ! Dans mon cas, il ne s agit pas seulement d un problème d inceste familial, il s agit d un problème de protection pedocriminelle. L’accusation selon laquelle je suis capable de faire pour atteindre à ma vie, à la vie de mes enfants, ne laissent pas de doute sur ce qui arrive a mes filles. La personne la plus obstinée dans ces accusations, est Taoufic Bensaida, le personnage qui s occupe de la tutelle des mineurs,
-Il est le directeur de protection judiciaire a Mons, le directeur de l’aide à la jeunesse, sa fonction est de protéger les enfants, de les encadrer et de mettre en œuvre différentes mesures pour protéger les enfants.
-Dans votre cas, ca ne s’est pas passé comme ça ?
-Non, pas du tout ! Lui m a dit que je devais changer de comportement, je dois arrêter la guerre, retirer mes accusations contre le père, et la famille paternelle(…) et il m a dit que si je continuais a faire la guerre, a faire trop de bruit autour du dossier, alors, à ce moment-là, les contacts avec mes enfants ne pourront pas s’établir.
-les enfants, d’ après la loi du 3 octobre 2006, étant donné les circonstances pour les moins anormales sont avec le père, vous n avez pas pu faire valoir la situation d abus ni entrer en contact,
-excusez moi de vous faire revivre cette situation, mais c est inévitable de chercher a faire comprendre aux gens la situation…
-Je me suis fait une promesse, je l’ai dit à mes enfants que je ne les abandonnerai jamais, malgré que je pleure tous les jours quand je suis à la maison, en voiture, je regarde les photos de mes enfants, je cherche la force en moi pour continuer à lutter, la souffrance se transforme en une force pour continuer , parce que pour moi la plus grande souffrance serait que mes filles croient que je les ai abandonnées, je ne suis même pas certaine que tous les télégrammes que j’ai envoyés au service juridique de Mons leur soient transmis, je n ai aucun contact, cela fait deux ans que je ne sais rien de mes filles, sans entendre leur voix, sans les entendre, la seule espérance que j ai est ici en Italie, que le gouvernement italien nous encadre, je vais continuer a espérer, parce que sans l espérance, alors je meurs.
-J espère ne pas avoir forcé votre intimité, je vous remercie pour votre témoignage,
-Avant de mettre mes enfants au lit, je leur disais que je les aime a l’infini et que c’est plus grand que l’univers, plus grand que tout, c est ce que je voulais leur dire.

-Je crois qu’avec autant d informations comme ce matin, une chose est mise en évidence : le but est d’empêcher le parent protecteur d’apporter des accusations, de le mettre dans les conditions qu’il n’ait plus la garde de ses enfants et de lui interdire de les voir,
Les filles sont séquestrées et ils ont empêché la mère de les voir, cela parce qu’elle a dénoncé des abus que ses filles subissaient, je ne me risque pas a expliquer cela. Je ne connais pas d explication logique. Mais le message est clair : il ne faut pas parler de cette chose ! Il ne faut plus en parler sinon nous vous empêchons de revoir vos enfants.

- Qu’est ce que je peux dire? Essayer d expliquer l’histoire d un père et d’une mère, de dire que la mère est italienne, qu’elle a des difficultés avec les enfants…Mais quelle étroitesse, comment est ce possible, quelle étroitesse de la part du gouvernement belge, dans le sens que le témoignage de cette femme fait référence à un individu, un directeur…
-qui s appelle Taoufic Bensaida. C est un expert du tribunal des mineurs, un fonctionnaire institutionnel.
- En Italie, le tribunal des mineurs, fonctionne comme n’importe quelle autre institution, c est pourquoi, c est une histoire bien plus sérieuse.
-La Belgique a déjà une réputation avec ce genre d’événements, terrifiants, par rapport à la pédophilie ; sans culpabiliser cette nation.
-Et ce n est pas tant la Belgique que le tribunal de Mons.
-Cette décision de savoir qui a la garde…Quand la femme découvre cette tragédie à l’ intérieur de sa propre maison, bien entendu, elle la dénoncé, à l’ instant où elle dénonce cette situation, elle ne trouve aucune solidarité, de personne. ! On lui diagnostique une pathologie qui est le syndrome de Münchhausen par procuration et selon celui qui l’accuse, Madame Maria-Pia Maoloni serait capable de causer des lésions physiques sur ses filles seulement pour accuser une autre personne, pour confirmer sa théorie selon laquelle les enfants sont abusées.
-Voila, et j’ajoute entre parenthèses que c est la même chose qui se passe avec le cas de Rignano, et attention, je le répète, je ne fais pas de comparaison entre les accusés, mais dans cette situation aussi la femme qui a porté l’accusation est elle-même accusée du syndrome de Münchhausen par procuration. Donc, on accuse du syndrome de Münchhausen par procuration un peu tous ceux qui dénoncent des abus sexuels sur leurs enfants.

-Ensuite, on avance avec la suite et on commence la troisième partie parce que l’interview de Madame Maoloni nous a amenés à ce point, alors nous allons voir si les médecins confirment l’accusation de cette pathologie.

-Le rapport spécialisé sur la personne de Maria-Pia Maoloni, rapport du Professeur Fancesco Bruno, neurologue et psychiatre :
« Le résultat de notre travail psychologique et psychiatrique nous a amené au diagnostic suivant : Il n est pas possible de relever de trouble de la personnalité, ni un développement anormal du caractère ; au contraire, Madame Maria-Pia Maoloni démontre posséder une personnalité équilibrée, elle a une capacité parentale maternelle normale, et n’a aucune pathologie psychique, en particulier, pas de dépression ni de syndrome de Münchhausen par procuration. Par conséquent, nous affirmons que Madame Maria-Pia Maoloni a de bonnes capacités maternelles et n’est dangereuse ni pour elle-même, ni pour ses filles.

-Le C-bex, une institution belge spécialisée dans les cas d abus, écrit un rapport sur la personnalité de Madame Maria-Pia Maoloni, et de Fiona. Selon cette équipe, le témoignage de la fille ne serait pas crédible, elle aurait menti avec la bénédiction de la mère, qui, elle, aurait le syndrome de Münchhausen par procuration. Ce syndrome est un trouble mental par lequel un sujet occasionne un dommage physique au fils ou à la fille pour briser l’affection et l’estime d une autre personne, il constitue un sérieux abus sur l’enfance.

Il est à noter que le C-bex est un groupe de chercheurs avec très peu d’expérience, trois des quatre, au moment de l’expertise, étaient licenciés depuis deux ans ; le quatrième était licencié depuis seulement un an ! Le rapport du C-bex est contredit par le Professeur Giorgio Gagliardi qui, dans son rapport médical écrit au sujet de l’expertise sur Maria-Pia Maoloni :
Elle ne présente pas de trouble mental ou psychologique capable de compromettre les capacités cognitives, émotives ou affectives, relationnelles, et la délicatesse parentale. Elle ne présente pas de pulsion agressive telles qu’elle peut être considérée comme dangereuse pour elle-même et pour ses filles, sa personnalité ayant été examinée, … familial, social, relationnel, et procédures civiles et pénales, et de tous les symptômes dans la période de l’examen. les symptômes du syndrome de Münchhausen par procuration ne sont pas présents chez Madame Maria-Pia Maoloni, contrairement à ce qui est indiqué dans le rapport psychologique du C-bex.

-Le C-bex est en fait l’équipe du grand père,
-du tribunal…
-du grand père qui supposément selon la dame, c’est pourquoi il était difficile de l’imputer.

Le professeur Francesco Bruno et Gagliardi qui, eux, sont reconnus.
-Ils disent que l accusation est nulle et non avenue, que les problèmes qu’ a pu rencontrer Madame Maria Pia Maoloni sont causés par le stress de la situation et de toute la procédure qu’elle doit affronter, la douleur pour la situation qu’elle est en train de vivre. Après avoir vu cette situation légale, et les avoir emmenées chez le médecin, elle a dénoncé le fait parce que c’était le récit spontané de l’enfant, elle était obligée de dénoncer cela à cause de la constatation des dommages physiques sur les filles, donc elles ont été placées par la Loi dans une institution. Selon la Loi, elle doit accepter que le père puisse les voir, que les filles fréquentent le père, et en voyant que de cette manière, la même situation se reproduit, et que les institutions se tournent contre elle, on lui dit de ne pas ébruiter cela, de ne rien mettre sur internet, d’éviter de parler de cette chose pour revoir ses enfants
.
-Elle ne peut ni présenter les preuves au tribunal belge, ni diffuser les photos sur internet pour demander de l’aide… A ce moment, Madame Maria Pia Maoloni décide de venir avec les enfants, en Italie.


3 octobre 2006 :

Maria Pia Maoloni vient en Italie avec les deux filles, Fiona et Milla, où elle a encore de la famille.
Le 5 octobre 2006, Rocco Antonini dénonce son ex-femme au tribunal de Mons pour enlèvement d’enfant, il fait lancer un mandat d’arrêt international en un temps record, qui est émis le 6 octobre. Le lendemain, la nouvelle de cette convocation, à cause d une grève des postes … italien et n arrive à Madame Maoloni que le 9 octobre, alors qu’elle est déjà emprisonnée.

Le 07 octobre 2006 :
Madame Maoloni est arrêtée pour l’accusation injuste d’enlèvement d’enfant et par la suite, elle sera reconnue innocente.
Elle fera 4 jours de prison et presque 20 jours d’arrêt à domicile, les enfants sont replacées en institution. Cette fois-ci, c’est à Santa Gemma à San Benedetto Del Tronto.

20 novembre 2006
Le tribunal d’Ancona accueille la requête du tribunal de Mons : le jugement qui donne la garde exclusive de Fiona et Milla au père. Cela revient à les remettre à un homme qui est encore sous procès pour attouchement de mineurs.

12 decembre 2006 :
La cour d appel du tribunal d Ancona annule le jugement de rapatriement des enfants.

8 mars 2007 :
Le tribunal des mineurs d Ancona n est plus reconnu compétent d’après un nouveau jugement du tribunal de Mons. ….Entre le 9 et le 18 mars 2007, le Ministre de la justice italienne rencontre le Ministre de la justice belge, de manière informelle. Au centre de la discussion : l’affaire Maoloni !

19 mai 2007 :
Alors que les deux filles se promènent, accompagnées de l’éducatrice de l’ institution dans laquelle elles avaient été placées, elles se font enlever, sans que personne ait été averti au préalable, par deux fonctionnaires de police et sont transportées dans un lieu tout à fait secret dans l’attente du rapatriement.
Depuis ce moment, il n est pas permis à Madame Maoloni d’avoir des contact avec ses filles. Si elle traverse les frontières italiennes, elle serait en arrestation immédiate.

10 juin 2008 :
La Cour de Cassation casse le jugement relatif au rapatriement rendu par le tribunal d’Ancona, en le jugeant non-avenu. Les filles resteront quand même en Belgique, chez le père.

19 decembre 2008 :
Le tribunal de Fermo notifie un renvoi en justice à Roberto Antonini en accusation pour attouchements sur mineurs, le grand-père des enfants. Il n a pas été possible de mettre en accusation le père Rocco Antonini, le père de Fiona et Milla, parce qu’il manquait la signature du Ministre Mastella afin d’enquêter sur un étranger. Les deux enfants continueront a vivre avec deux personnes soupçonnées jusqu’au procès du 7 octobre sans aucune forme de contrôle de la part de l’autorité.

-Un flash, on parle d’avion militaire,
-Cet institut, le Santa Gemma, elles sont enlevées et reportées en Belgique sans aucune consultation au personnel de l’institution. Précédemment, il y avait déjà eu une tentative d’enlèvement des enfants qui avait échoué, pour finir on les a ramenées en avion militaire en Belgique.
Le Ministre de la justice belge est venu jusque ici pour parler avec Clemente Mastella, qui était à ce moment-là, le Ministre de la justice en Italie. Pourquoi tellement de mobilisation pour cette affaire ?
Pourquoi un si grand intérêt ? Pourquoi des directions institutionnelles nationales et internationales aussi élevées ? On parle d avion militaire pour le rapatriement. Pour quel motif ?

-On ne trouve aucun type d explication. Mais la chose la plus inquiétante est probablement celle qui accuse le plus, les deux filles sont en ce moment avec le père et le grand père : et la mère, elle, n a droit à aucun contact avec elles, ni en personne, ni au téléphone. Parce qu’en Belgique, ils les lui interdisent. C est la situation actuelle ! Que pouvait faire Mastella ?

-La situation est la suivante, Clemente Mastella pouvait intervenir pour bloquer le rapatriement des enfants parce qu’ils sont allés à l’encontre d’un jugement du tribunal italien.
La cour d Appel avait rejeté le jugement de rapatriement, ce jugement ne pouvant venir d un tribunal ordinaire. Celui-ci n’était pas compétent. Il s’agit donc d’ un conflit entre deux tribunaux : Le tribunal des mineurs d’Ancona n’était pas compétent pour faire cela et malgré tout, il a autorisé le rapatriement. Pourtant, la Cour de Cassation …

Autre chose, encore plus inquiétante qu’a fait Mastella est, selon l’article 64 du code pénal, relatif aux attouchements sur mineurs et à la pornographie des mineurs applique les dispositions même pour un citoyen étranger qui aurait collaboré avec un citoyen italien, étant donné que les faits remontent a moins de cinq ans en arrière. Si le Ministre de la justice avait signé la rogatoire internationale, le grand-père, Roberto Antonini ne serait pas le seul à être inculpé, ici à Fermo, mais aussi le père. Clemente Mastella n a pas voulu signer cette autorisation, et donc le père n’est absolument pas sous procès pour cette raison.
Etant donné l’ importance de la situation, nous avons donc appelé Monsieur Mastella pour qu’il nous donne une explication :

INTERVIEW DE L’EX-MINISTRE DE LA JUSTICE ITALIENNE :
CLEMENTE MASTELLA

-Oui ?
-Bonjour, excusez-moi de vous déranger, je suis journaliste de la radio Centro Suono Sport.
Je vous dérange ?
-Je suis en train de faire quelque chose, pouvez vous rappeler plus tard ?
-Je voulais juste vous demander rapidement quelque chose que je cherche depuis plusieurs jours : c’est à propos de l’affaire Maoloni, je ne sais pas si vous vous en souvenez ?
-Qui est Maoloni ?
-C’est cette histoire des enfants convoités par l’Italie et la Belgique
-Non, je ne me rappelle pas.
-Vous ne vous en rappelez pas ?
-Non, je ne m’en rappelle pas.
-C’est qu’à ce moment-là, vous étiez Ministre de la justice,
-Je ne sais pas, je ne suis pas à mon bureau, je ne me rappelle pas.
-Je peux vous rappeler plus tard ?
-On verra, ok, merci

-Bonjour, je m’excuse, c est de nouveau moi, est-ce que je vous dérange? Je vous rappelle parce que vous n’étiez pas dans votre bureau…
-Je vous ai dit que non
-c est qu’à l’époque, vous étiez Ministre de la justice…
-Laissez-moi un peu tranquille.

Les coups de téléphone n’étaient pas donnés le meme jour ?
-Non, absolument pas.
-Tu as appelé 24 heures après, donc il a eu le temps de se rappeler de l’affaire.
Et il demandé qu’on le laisse tranquille…Quelle HONTE ! Quelle HONTE !
Et moi, en effet, je les mettrais tous dedans, je les mettrais tous pour faire comprendre combien ils n’ont pas voulu parler de cette affaire !
-Je suis d accord avec le fait que c’est une honte, pour l Italie, qui est représentée par ces hommes politiques qui ne se rappellent même pas de cette affaire. C’est presque, par l’absurde, une provocation, il ne veut pas parler. Je ne me rappelle pas, c’est ahurissant !
Il ne se rappelle pas ne pas avoir signé un document qui aurait éviter le rapatriement.
Et quand vous l’avez appelé une dizaine de fois ces jours-là, bien sûr qu’il se souvient !

-Les télévisions continuent à parler de lui comme la victime d un système.
-Je sais, justement, nous faisons cela pour cette raison.
-Il n a pas voulu me confirmer à moi, parce il disait ne pas se rappeler mais j ai lu un article assez dérangeant, dans le journal, d’une interview qui avait été faite avec Mastella où il confirme avoir rencontré la Ministre de la justice belge à cette période, mais il a nié avoir subi des pressions concernant cette histoire.

Alors, on arrive au moment où les filles ont été placées à l’institut à San Benedetto et où elles fréquentaient une école. L’institutrice de cette enfant, l’institutrice de Fiona a dit avoir écouté son récit spontané et a écrit une lettre ouverte, nous l’avons appelée pour savoir ce qu’elle avait dit.

INTERVIEW DE L’INSTITUTRICE ITALIENNE DE FIONA : MADAME CAPRIOTTI

-Madame Capriotti, vous etes institutrice dans une école primaire et vous avez eu comme élève Fiona Antonini, la fille de Maria-Pia Maoloni et de Rocco Antonini,
-Oui
-Que vous rappelez-vous de cette enfant ?
-Je me rappelle que l’enfant, au début, avait l’air choquée. Dans un premier temps, c’était assez difficile d’interagir avec elle. Elle était épouvantée, elle était dans une institution d’accueil, la maison familiale de Santa Gemma. De plus, elle était séparée de sa maman, elle ne connaissait pas la langue et elle semblait désorientée.
-Vous avez recueilli le récit spontané de Fiona, vous avez ressenti le devoir de l’écrire et d’en rédiger une lettre ouverte ?
-Oui il s’agit d’ un témoignage qu’elle a fait spontanément, et que j’ai rapporté, je faisais des activités de rattrapage, et pendant ce temps -là, certaines histoires vécues émergeaient.
En particulier, à propos du père et du grand père. Quand plus tard, la situation est devenue un peu plus lourde parce que l’enfant racontait des faits particuliers….
-De quel genre de faits particuliers s’agissait-il ? Des fait liés à la pédophilie ?
-Oui. L enfant commençait à pleurer, à se contorsionner prés de moi, a raconter de longues histoires entre de profondes respirations et des larmes, c était très choquant pour moi.
-A partir de votre expérience d institutrice, pouvez vous dire que les dires de Fiona dont vous vous rappelez, mais ils vous ont semble spontanés ?
-Absolument spontanés, oui, cela semblait être des expériences réellement vécues par l enfant.
-La thèse défensive du père et du grand père de l’enfant est basée sur le fait que c est la mère qui conditionnait l enfant a raconter ces histoires et que c est elle-même qui aurait inflige ces lésions physiques sur le corps de l enfant. La petite a-t-elle fait référence a sa mère et a sa relation avec sa mère ? et une deuxième chose, pensez vous que cette thèse défensive du père est possible ?
-L enfant était très liée à la mère, quand on l emmenait faire ces choses et quelle en revenait, elle les racontait a sa maman. Sa parole du début, quand elle est entrée dans l institution, jusque au moment ou n a plus pu voir sa mère, elle la réclamait continuellement, le rapport avec le père, d après ce qu’ elle racontait était un peu ambigu , envers le grand père elle n avait pas une grande sympathie. Je pense vraiment que ce qu’elle racontait, par la simplicité, le récit de l enfant semblaient réellement vécus, dans le sens ou l enfant pleurait désespérément. Elle réussissait a parler et a raconter ces choses.
-Merci pour ces témoignages qui comme on peut l imaginer est très important, et vous enseignez depuis longtemps ?
-Depuis 20 ans, mais notre école est a coté d’une institution d’accueil, et on est prêts à recueillir des enfants qui ont des problèmes
Madame Cappriotti, on vous remercie vraiment pour votre contribution,
-J’espère que cela pourra servir a quelque chose parce que c est vraiment une sale histoire.

La partie la plus terrifiante de toute l histoire et qui permet de faire comprendre comment fonctionne ce monde de la pédophilie commence on commence avec ces enfants avec l histoire de cette fille, ce n est plus une fille, de cette femme qui a été abusée depuis ses trois ans, si je me rappelle bien et qui a été abusée a trois quatre cinq et arrivée a 20 ans, elle est passée de la position d être abusée a se mettre a abuser elle-même. Sans savoir, en le vivant comme une chose absolument normale, parce que dans ce monde, dans cette horreur, elle avait toujours été abusée et elle s est mise a abuser parce que cela se passait dans de grandes villas, dans de grandes auberges. La concomitance entre son histoire et celle de madame Maoloni, qui cherche de l aide des institutions et elle qui a un moment décide que ca suffit, que c est de la folie, elle s enfuit et elle entre en contact avec madame Maoloni parce que elle veut protéger l enfance, c est pourquoi elle veut l aider.
-oui d une manière analytique, nous avons suggérer des choses qui n ont pas pu être prouvées. Maintenant il est arrive le moment de prouver cette partie. Nous devons parler d un réseau de pédophiles. Nous avons cette certitude parce qu’a partir du moment ou a été abandonne l institution, madame Maria Pia Maoloni se révolte et reçoit l appui d une seule association qui s appelle Sos enfance, une association française, non excusez-moi, de l’enfance en danger. Dans cette association, elle raconte son histoire, bien entendu, l association s occupe déjà de beaucoup d histoires, et arrive l histoire de Myriam Lutringer, une fille victime d abus a l âge de deux ans , elle était enfermée par la famille adoptive qui l avait éduquée pour séduire et vendue a tant d occasions a des pédophiles, pardon d etre cru mais c est cela. Des l âge de deux ans madame Lutringer a participe a des fêtes a de véritables festins de pédophiles qui se réunissent en différents endroits du monde, entre la France, l Italie, la Belgique, l Italie, l Angleterre, entre autres. Cette personne raconte son histoire, mais la chose la plus grave est la relation entre les deux histoires est que Miriam Lutringer a reconnu la fille de Maria Pia Maoloni, Fiona, comme une des enfants qui participait a ce type de rencontre. Elle se rappelle de l avoir vue et de l avoir vue en compagnie du grand père et du père dans un village ou il y avait ce genre de fêtes avec des pédophiles.
-Apres la pause nous allons écouter ce témoignage pour faire comprendre quel est ce monde des pédophiles en vérité.

-Bonjour, pour que cette histoire soit complète, il faut expliquer comment on passe du statut d abuse au statut d abuseur. Nous rappelons que le grand père est l unique personne actuellement en procès parce que faute de la signature de Mastella, il n a été possible de mettre que cet individu en accusation. Et c est le tribunal de Fermo qui va faire ce procès. Alors pour le témoignage de Miriam Lutringer, Ariana di biaggio a été très gentille de venir, elle vient pour faire la traduction et également parce qu’elle s occupe de ce genre de situation par la force des choses elle a donc une sensibilité particulière par rapport a la protection des enfants,
Bonjour Ariana, bonjour Myriam,
-Bonjour a tous


Bon, nous allons d abord passer l’interview du grand père.

INTERVIEW DE ROBERTO ANTONINI, GRAND-PERE PATERNEL DE FIONA ET MILLA

-Bonjour monsieur Antonini ?
-Oui ?
-Je suis d une radio italienne, et nous faisons une enquête sur l histoire liee a vos deux petites filles,
Et nous voulons l informer, les enfants vont bien ?
-oui elles vont parfaitement bien,
-Vous les voyez ?
-Nous les voyons tous les jours, elles vont a l école, elles vont bien vraiment, vraiment. Contrairement a ce que raconte la mère qui m a accuse d abus sexuels auprès du tribunal de Fermo,
-C est une procédure, en Italie,
-C est une procédure mais contraire a la loi, contraire au mandat d arrêt international, contraire a la loi qui interdit de faire ca a ses enfants pour faire croire que je suis coupable, c est pour cela qu’elle n a plus la garde,
-Mais nous avons vu une expertise psychiatrique, madame Maoloni serait une personne équilibrée, saine, qui ne ferait pas de mal a ses enfants…
-Cette expertise a été faite par un psychiatre qu elle connait bien depuis longtemps. Elle a eu des expertises de ses amis qu’elle connaissait bien.
-Pourquoi madame Maoloni aurait invente tout cela et occasionne des dommages physiques a ses enfants ? Quelle serait la motivation ?
-La motivation était qu’elle ne voulait pas que le père, parce que les filles étaient très attachées au père, et quand la famille de la mère a vu qu’elles étaient très attachées au père, elles ont voulu la détacher du père, elle emmenait toujours les enfants avec elle, avec elle et avec sa famille. On ne pouvait plus les voir, toujours de peur que les filles s attachent au père. Ils ne supportaient pas cela et ils ont du inventer une chose grave.
-Vous dites qu’elle aurait fait tout cela pour pouvoir vous éloigner vous et le père des enfants ?
-Vous avez tout compris, la fille était obligée de raconter, sa mère l emmenait chez le docteur et l enfant était obligée de raconter au médecin que le père lui mettait la main dans la culotte, qu il la touchait.
-Oui mais les enfants ont été rapatriées en Belgique a l encontre d une sentence du tribunal d Ancona et en suivant la décision d un tribunal qui n est pas un tribunal de cassation, et qu’on a donc pas la compétence de demander un rapatriement.
-Pourquoi, parce que cette sentence était basée sur le fait que la mère, lorsqu’elle a kidnappe les enfants, elle les a kidnappées,
-Mais expliquez moi une chose, parce que a ce moment la, la mère avait la garde des filles et le père avait le droit de les voir seulement un weekend sur deux et sa garde n était pas encore terminée, aussi en terme de loi, elle était autorisée a les emmener en Italie, pour faire un voyage.
-Non parce que le weekend lorsqu’elle est partie, c était le weekend pendant lequel mon fils avait la garde,
-Et expliquez moi autre chose, nous avons ici un témoignage d une fille qui a témoigne pour le procès ici a Fermo, Myriam Lutringer et qui a participe a de vrais orgies pédophiles et qui dit avoir vu ces filles, avec vous et votre fils..
-Cette personne, selon moi, n est pas une référence, mais il y a une référence a cette association française, au compte de la mère, et qui vient raconter des choses. Cette association ne compte pour rien, elle combat la loi, parce que cette fille, nous ne l avons jamais vue, nous ne la connaissions pas, elle était a 1000 kilomètres d ici. L autorité n a rien voulu écouter, il est vérifié que c est une droguée, une droguée notoire, connue de la police française, de Reims, de la région de Reims, une droguée et une prostituée, elle se prostitue depuis ses seize ans. Donc c est une prostituée qui se fait payer pour raconter ces trucs.
-Ce que vous dites en substance, c est que cette personne est payée par madame Maoloni pour dire ces choses ?
-Pas madame Maoloni personnellement, mais cette association : enfance en danger, qui combat toute la justice française parce que ce qu’ils font est illégal, ils font tout cela pour faire parler d eux, qu ils sont les gens qui ont découvert ces choses. C est une association de mythomanes, de tous genres. Cette demoiselle est payée par cette association mais pas directement par madame Maoloni parce que madame Maoloni ne connais pas cette demoiselle, elle ne la connait pas du tout.
-Madame Maoloni aimerait revoir sa fille de deux ans,
-Le service social du tribunal des mineurs lui avait donne la permission de téléphoner mais comme cette femme, comme elle le fait toujours, a fait une manifestation via internet, au monde entier, en disant que nous les avions kidnappées, que nous les avions séquestrées et que nous les violions tous les jours. Alors quand les services sociaux ici en Belgique n ont pas vu cela, il n a plus été permis pour elle de voir les enfants. C est pour protéger les enfants parce que madame Maoloni, par téléphone, les a surement conditionnées a dire ces choses.
-Pour essayer de tirer cela au clair, nous allons invite sur le plateau la témoin, Myriam Lutringer, pour raconter sa version et raconter son expérience. Nous rapporterons tous les commentaires et comme ce discours sera fait en votre présence, vous pourrez entendre tout sans manipulation. Ca va ?
-ca va.
-Merci au revoir
-Au revoir.

Nous reprenons l antenne pour rappeler une chose, après l interview avec le grand-père qui est inculpe comme le rappelait Giuseppe Lemonaco, nous allons entendre dans un moment Myriam Lutringer avec.
-Une chose par rapport a l interview avec le grand père, au début, il ne dit pas qu’il voit les enfants, ce sont les instructions du tribunal qui…
-Le tribunal ne peut faire ce genre d enquête, mais cet appel téléphonique,
-Le grand père dit que lorsque la mère est venue ici avec les filles, c était le weekend ou le père avait la garde, or cet argument n est pas tout a fait vrai, donc la mère avait le droit de venir.

Bon nous allons écouter le témoignage alors Myriam, racontez nous votre histoire, comment cela a commence et comment elle est passée de la situation d abusée a celle d abuseuse, en grandissant, dans ce monde ce genre de chose arrive.

INTERVIEW DE MYRIAM LUTRINGER, TEMOIN FRANÇAIS QUI A RECONNU LA PETITE FIONA DANS DIVERSES CEREMONIES DE PEDOPHILES

« J’ai été adoptée à cinq ans et j’ai commencé à vivre ces horreurs à l’âge de sept ans. J’ai subi des abus par mes parents adoptifs, mère et père. Au début, c’était des approches délicats, puis de plus en plus terribles. De victime, je suis également devenue abusante. Cela a été un parcours de pressions psychologiques. Ils te font croire qu’il s’agit d’une situation normale. A un certain moment, j’ai constaté que mon frère était en train de vivre la même tragédie. Ce n’était plus possible. Je me suis adressée à une association internationale reconnue et qui a son siège à Paris ».

Comment est ramifiée et structurée cette loge de pédophiles ?
« Il s’agit d’une organisation internationale avec une hiérarchie bien précise. Elle a une forme pyramidiale. Au somment de tout, il y a un chef qui commande et dicte les ordres du haut. Puis, il y a les responsables nationaux, qui à leur tour, font filtrer les directives dans différents pays. La communication voyage à travers internet, avec des codes bien précis ».

Myriam, vous êtes témoin dans le procès sur le cas Maoloni. Vous avez déclaré avoir rencontré les enfants et les Antonini, père et fils. Est-ce vrai ?
« Oui, je le confirme et je ne changerai pas une virgule de mes déclarations ».

Dans quel contexte, vous avez vu les enfants et les sieurs Antonini ?
« Je les ai rencontrés oui, mais j’ai vu seulement la fille aînée de Madame Maoloni. Je l’ai croisée dans ce qu’ils appellent, les cérémonies sexuelles. Les rencontres ont eu lieu en Belgique, en France, en Italie et en Allemagne. Dans ces contextes, les enfants subissent des abus par des personnes importantes et qui ont un certain pouvoir. »

Qui fréquente ces rencontres ?
« Ce ne sont pas des ouvriers. Ce sont des personnes aisées, politiciens, gens de pouvoir et qui ont de l’argent. C’est pour cette raison que la justice n’avance pas. Parce qu’il existe des protections importantes autour de ce réseau ».

Qui étaient tes parents adoptifs ?
« Mes parents étaient aisés ».

Comment s’organisent ces rencontres ?
« Le chef de l’organisation appelle les subordonnés au niveau national. Ils apportent aussi les enfants. Les communications arrivent sur internet, avec des codes bien précis ».

Qui sont les enfants victimes du réseau ?
« La grande majorité des enfants qui disparaissent sont des mineurs abusés dans ce réseau de pédophiles internationaux. Il y a des personnes payées pour enlever les enfants. Les victimes sont choisies sur base de critères précis, comme la couleur des cheveux et des yeux ».

Rentre t-on dans ce réseau seulement pour l’argent ?
« Non, pour le plaisir et l’argent ».

Comment surviennent ces rencontres ?
« Ce sont des cérémonies, comme celle de l’habit de mariée. Elles se basent sur des rituels précis. Ce ne sont pas uniquement les enfants qui doivent être travestis, les adultes le font aussi. »

Combien de fois avez-vous participé à ce type de rencontres et ou’ ?

« Combien de fois j’y ai participé, je ne saurais pas le dire. De nombreuses fois. Je suis allée à des rencontres en Italie, en Belgique, en France, au Luxembourg et en Allemagne ».

En Italie, ou’ ?
« Dans la zone de Rome et de Pise, en ville et régions voisines ».

Pourquoi l’on ne parle jamais de ces réseaux de pédophilie ?
« On ne se préoccupe pas de la pédophilie car il y trop d’implications politiques et de conséquentes protections. Il est important de comprendre que ce phénomène représente une urgence grave. Tous les enfants sont en danger ».

Vous êtes en train d’écrire un livre, est-ce vrai ?
« Oui, mais personne ne veut assumer le risque d’éditer mon livre. »

Le motif ?
« Le même pour lequel la justice belge fait semblant que le problème n’existe pas ».

Vous avez témoingné en déclarant avoir vu la fille aînée de Madame Maoloni participer à ces rencontres, mais la justice belge ne vous a jamais entendue.
« Personne ne m’a appelée en Belgique pour écouter mon témoignage ».

Quand vous êtes venue la première fois en Italie, vous avez perdu votre ordinateur et il vous a été rendu sans disque dur. Que contenait-il ?
« Il y avait le dossier pénal, avec mes preuves ».

Avez-vous reçu des menaces ?
« Oui, j’ai reçu des menaces et ma voiture a été objet d’actes de vandalisme. Ils m’avaient détruit les freins ».

Vous avez aussi reçu un coup de téléphone de Rocco Antonini, le père des enfants ?
« Oui, j’ai été menacée au téléphone par Rocco. Il m’a dit qu’il me tuerait ».

Vous avez peur et que voulez-vous faire encore ?
« Oui, j’ai une peur au quotidien pour moi et pour les personnes que j’aime. C’est une bataille. Je revis l’horreur de ces violences jour après jour. Mais, je ne veux pas m’arrêter. Pour aider les enfants qui sont victimes de ce drame. »

Un des maris des inculpés dans le cas de Rignano Flaminio a dit qu’il n’existe pas un réseau international de pédophiles, que ce sont des histoires….
« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage… »



INTERVIEW EN ITALIEN

La trasmissione radiofonica Te la do io Tokyo (per ascoltarla) tema: pedofilia, Snuff-Film,Maria Pia Maoloni e la sconcertante testimonianza di Miriam, che ha partecipato a festini pedofili, dall’età di 2 anni oggi ha 20 anni

feb 21, 2009


Iniziamo questo viaggio all’inferno con una premessa:
quando veniamo a conoscenza di fatti di cronaca legati alla pedofilia, quasi sempre è un singolo che ha commesso il reato dell’abuso, quasi mai si sono potuti avere dei riscontri che dietro ci sia un’ organigramma guidato da un’attenta rete fatta di piacere e di bussines, l’organizzazione dei pedofili.
In America abbiamo avuto delle testimonianze che queste organizzazioni esistono, proprio la video testimonianza di Paul Bonacci fece molto scalpore per le dichiarazioni raccapriccianti che il ragazzo fece su come venivano perpetrati gli abusi su bambini e ripresi fino quando la BESTIA raggiungeva il massimo del piacere con la morte del bambino, questo è uno Snuff-Film, nella testimonianza ci sono ritagli di giornali e tutta un inchiesta che in America allora coinvolse anche esponenti del mondo politico, gente importante, gente che conta, la solita gente per bene insospettabile, al di sopra di ogni dubbio e sospetto, ed è proprio questo che inganna……
In queste due testimonianza che ci raccontano dalla trasmissione radiofonica TE la do io Tokio, condottp da Mario Corsi, ci spostiamo tra l’Italia e il Belgio. Le storie raccontate in prima persona dalle dirette interessate, La signora Maria Pia Maoloni che ora vive in Italia e Miriam che oggi ha 20anni. Alla sig, Maoloni le sono state sottratte le figlie che ora sono con il nonno e il padre, gli stessi che le hanno abusate.
Quando Fiona Milla furono trasferite in un istituto, per conseguenza di una perizia che fu redatta alla mamma da dei psicologi appena laureati che del tutto riformulata concludendo che la signora Maoloni non era affetta da nessun disturbo psichico. La sinora Moloni fece visitare le figlie in più occasioni, visto che le bimbe accusavano dolori nel basso ventre o al fondo schiena, e i referti medici erano sempre gli stessi: le bambine presentavano segni di violenze fisiche per l’introduzione forzata nei genitali o nell’ano di oggetti, o come poi avrebbero riferito alla mamma e ai medici stessi, che era papà che spingeva col dito e le faceva tanto male!
I referti medici sono molteplici, dal referto del medico di guardia, al medico di turno in ospedale dagli specialisti, tutti concordi nell’accertare che le bambine hanno subito violenza sessuale, formando così l’accusa che oggi pende sul capo del nonno paterno al padre invece non è stato possibile formulare la stessa accusa perchè all’epoca è venuta a mancare la firma dell’allora Ministro Mastella che autorizzava il tribunale a procedere contro un cittadino straniero. Quando è stato raggiunto telefonicamente , Mastella ha riposto alla redazione di Te la do io Tokyo, che lui non ricordava, che non poteva dire nulla! Mastella se non sbaglio è lo stesso Ministro che andò a trovare le Maestre di Rignano Flaminio quando erano detenute nel carcere di Rebibbia.
Dai racconti delle bambine in seguito ci saranno dei collegamenti con un altro caso di una ragazza che si chiama Miriam, la quale non ha mai conosciuto le ragazzine della signora Maria Pia Maoloni, Fiona e Milla, ma che ricorda di aver incontra in compagnia del padre e del nonno Fiona, in uno dei festini che venivano organizzati con uomini e donne appartenenti ad un certo ceto sociale. Le portavano nel castello dove c’erano tante signore vestite bene. Qui le storie delle due si intrecciano, Miriam racconta le stesse cose che raccontano le sorelline Belghe, orge con bambini, bambini costretti a bere sciroppo che poi le faceva venire una leggera sonnolenza, gente mascherata, rituali dove ci si vestiva di bianco e poi si abusavano e si riprendevano, loro i più ingenui e indifesi, i bambini.
La testimonianza di Miriam, è una di quelle cose che abbiamo letto quando in alcuni casi ancora aperti si parlava di sette, di organizzazioni, di rete dei pedofili, con la differenza che Miriam, ragazza adottata, ha vissuto fin dall’età di 2 anni questo inferno, crescendo con questo concetto, credendo che fosse la normalità, così diventa da abusata, a abusante,. Giunge un giorno che scatta qualcosa in lei che le fa dire basta. Si rende conto che tutto quello che gli sta accadendo intorno è morboso e mostruoso e che non è normale, e decide di uscirne fuori. E’ qui che il caso ha voluto che anche la signora Moloni chiede aiuto e tutte e due si ritrovano nello stesso istituto per essere aiutate. Miriam riconosce Fiona, ricordandola in compagnia del nonno e del Padre, li ricorda a quelle feste di abusi sessuali organizzate dai pedofili.
Miriam è una testimone, che oggi ha 20 anni, racconta che sono ben organizzati, che sono festini che si svolgono in castelli, ville alberghi….frequentati da uomini politici, uomini e donne influenti, ricchi, che le località in cui si organizzano sono ben precise e che e tra di loro si scambiano informazioni tramite internet, attraverso pagine con degli algoritimi ben precisi, tutto questo nell’assoluto silenzio e indiscrezione!.
Miriam, racconta di essere stata minacciata dal nonno di Milla e Fiona, di essere stata minacciata di morte se avesse parlato. Ma come mai, se i due non si conoscevano? Evidentemente le ragazzine sono state a quei festini, addirittura Miriam ricorda che in alcune occasioni è venuta anche in Italia, a Roma e nei dintorni di Roma per partecipare ad uno dei festini organizzati in ville, con bambini piccoli.
Questo è un caso dove in Belgio si sono mobilitati addirittura gli aerei militari per cercare di riportarle in patria le due piccole Milla e Fiona, ma perchè cariche così in alto si mobilitano? Mi sembra abbastanza chiaro…….
Ora c’è un processo in atto, molte cose non sono state dette perché sono così forti che si finirebbe per essere morbosi, ma se ascoltate la trasmissione, (che non me ne vogliano a male la redazione) da cui è partita l’inchiesta sulla pedofilia, Te la do io tokyo, ho estrapolato il pezzo in cui si parla solo della pedofilia.
La trasmissione l’ho divisa in due parti, la prima parte spiega tutto quello che ascolterete e potrete ascoltare la testimonianza della Signora Maria Pia Maoloni, e la tentata telefonata fatta a Mastella.
Nella seconda parte potrete ascoltare la testimonianza di Miriam e dei festini organizzati per gli incontri tra pedofili, e la telefonato del nonno di Milla e Fiona, indagato per abusi sessuali.
L’ascolto della trasmissione non è indicato per bambini, quindi se nei pressi avete dei bimbi non è il caso di ascoltarla, visto i contenuti forti.




Lo speciale sulla pedofilia andato in onda questa mattina a Te la do io Tokyo

20 Febbraio - 18:28

Questa mattina, durante la trasmissione Te la do io Tokyo, condotta da Mario Corsi, è andato in onda uno speciale sulla pedofilia a cura di Giuseppe Lomonaco ed Adriano Valentini. Per chi non l'avesse ascoltato può scaricarlo integralmente dalla sezione Downloads - categoria Radio: il file è inchiesta-20-02-09.zip


MARIA PIA MAOLONI (madre delle due bambine)

Come si è accorta delle anomalie di sua figlia?
“La mia primogenita ha cominciato ad ammalarsi quando aveva tre anni e mezzo. Faceva incubi, era anemica e non mangiava più. Quando ha cominciato a fare certi disegni ho capito. C’era qualcosa che non andava. La piccola descriveva il nonno paterno che la invitava in camera e faceva dei giochi strani. Gli stessi si ripetevano col padre. Entrambi intimavano alla bambina di non dire
nulla alla madre.”

Cos’ha fatto a quel punto?
“Ho portato la mia bambina all’ospedale, dal pediatra di turno. Lei ha raccontato al dottore quello che le faceva il padre. La piccola è stata sottoposta ad un’altra perizia di un medico generico, nel luglio del 2006.”

Cosa hanno fatto le istituzioni belghe?
“Non voglio dire che le istituzioni in Belgio siano negligenti, ma nel mio caso hanno girato tutto contro di me. Mi hanno detto che ero stata io a provocare danni fisici e psicologici sulle bambine. Io stessa sono stata sottoposta a perizie mediche in Italia ed in Belgio. Tutti, all’unanimità, hanno certificato che sono una persona sana, equilibrata e normale. Dopo cinque anni di calvario
ho capito che mi trovavo di fronte ad un caso di protezione dei pedofili. Non si trattava solo di incesto familiare, ma di una vera e propria rete pedo-pornografica. Si volevano proteggere altre persone che erano coinvolte nel giro e non dovevano essere identificate.”

Ha le prove di questo?
“Sì. Il Direttore del servizio di protezione giudiziaria a Mons mi ha consigliato di cambiare atteggiamento, di finire la guerra e non tormentare più il padre delle bambine. Se continuerò a fare baccano su questa storia saranno interrotti i contatti con le piccole. Mi ha detto questo."



TESTIMONIANZA DELLA SIGNORA CAPRIOTTI, UNA MAESTRA DELLA FIGLIA DELLA SIGNORA
MAOLONI

“Ho incontrato la bambina quando era ospite della casa famiglia. All'inizio era sconvolta. Era stata allontanata dalla madre, non conosceva la lingua, era disorientata. Mentre facevamo attività di recupero mi raccontava episodi vissuti col nonno e col padre. Fatti di pedofilia. Ne parlava e si stringeva a me, piangeva. E' stata un'esperienza sconvolgente."

La tesi difensiva del padre e del nonno va contro la madre..
"La bambina era molto legata alla mamma. Mi diceva che le raccontava quello che le succedeva. La cercava continuamente. Il rapporto col padre, invece, era ambiguo. Il nonno non le stava simpatico."

ROBERTO ANTONINI, il nonno della bambina. L'unica persona sotto processo al Tribunale di Fermo per il caso Maoloni. Senza la firma dell'allora Ministro della Giustizia, Clemente Mastella, non si è potuto procedere contro il padre.

Stiamo facendo un’inchiesta sulle sue nipoti. Come stanno?
“Le bambine vanno a scuola tutti i giorni.Le vedo ogni giorno! Stanno veramente bene, contrariamente a quello che dice la madre."

Ma le violenze sono certificate da perizie...
"Le perizie sono state commissionate dalla madre a medici e psichiatri che conosce bene, amici suoi. La donna ha fatto tutto per andare contro il padre delle bimbe. Voleva che le piccole stessero sempre con lei. Mio figlio non poteva uscire da solo con loro. La madre obbligava la primogenita a dire che il padre le metteva le mani addosso."

Esiste una testimone, Myriam Lutringer. Lei avrebbe visto sua nipote, lei e suo figlio partecipare a degli incontri organizzati da una rete di pedofili internazionale..
"Myriam? Lei è legata ad un’associazione francese che ascolta le madri e poi trova persone per rendere i loro racconti attendibili. Si tratta di una struttura illegale e perseguita dalla giustizia francese. La donna è drogata e si prostituisce dall’età di sedici anni. E’ pagata da questa associazione.”
I servizi sociali belgi hanno ostacolato i contatti con la madre...
"I servizi sociali belgi avevano permesso un contatto telefonico tra le bambine e la madre, ma lei ha detto che le piccole erano state rapite ed avevano subito violenza dal padre. A quel punto le hanno impedito qualsiasi contatto telefonico."

MYRIAM LUTRINGER - Una donna vittima di abusi sin da bambina che, crescendo è diventata a sua volta abusante. Testimone al processo sul caso Maoloni.

Myriam, ci racconta la sua storia?
“Sono stata adottata a cinque anni ed ho cominciato a vivere questi orrori all’età di sette. Ho subito abusi da entrambi i genitori adottivi, madre e padre. All’inizio erano approcci delicati, poi sempre più terribili. Fino a quando da vittima sono diventata anche io abusante. E’ stato un percorso di
pressioni psicologiche il mio. Ti fanno pensare che si tratti di una situazione normale. Ad un certo punto ho visto che mio fratello stava vivendo la stessa tragedia. Non era possibile. Mi sono rivolta ad un’associazione internazionale riconosciuta, con sede a Parigi.”

Come è ramificata e strutturata questa loggia di pedofili?
“Si tratta di un’organizzazione internazionale con una gerarchia molto netta. Ha una forma piramidale. A capo di tutto c’è un direttore che comanda e detta gli ordini dall'alto. Poi ci sono i responsabili nazionali che, a loro volta, fanno filtrare le direttive nei vari paesi. La comunicazione viaggia su internet, con dei codici ben precisi.”

Myriam, lei è test nel processo sul caso Maoloni. Ha dichiarato di avere incontrato le bambine e gli Antonini, padre e figlio. E’ vero?
“Si, lo confermo e non cambio di una virgola le mie dichiarazioni."

In quale contesto lei ha visto le bambine ed i signori Antonini?
“Li ho incontrati sì, ma ho visto solo la primogenita della signora Maoloni. L’ho incrociata in quelle che loro chiamano... cerimonie sessuali. Gli incontri hanno luogo in Belgio, Francia, Italia e Germania. In questi contesti i bambini subiscono abusi da persone in vista, con un certo potere.”

Chi frequenta questi incontri?
“Non sono operai. Sono persone benestanti, politici, gente con potere e denaro. Per questo la giustizia non va avanti. Perché esistono coperture importanti a questa rete.”

I tuoi genitori adottivi chi erano?
“I miei genitori erano benestanti.”

Come si organizzano questi incontri?
“Il capo dell’organizzazione chiama i sottoposti a livello nazionale. Loro portano anche i bambini. Le comunicazioni avvengono su internet, con dei codici ben precisi.”

Chi sono i bambini vittima della rete?
“La maggior parte dei bambini che spariscono sono minori abusati da questa rete di pedofili internazionali. Ci sono persone pagate per rapire i bimbi. Le vittime sono scelte in base a criteri precisi, come il colore dei capelli e degli occhi.”

Si entra a far parte di questo circolo solo per soldi?
“No, per piacere e denaro insieme”.

Come avvengono questi incontri?
“Esistono delle vere e proprie cerimonie, come quella dell’abito da sposa. Si basano su rituali precisi. Non sono solo i bambini ad indossare dei costumi, anche gli adulti lo fanno.”

A quanti incontri di questo tipo ha partecipato e dove?
“Quante volte ho partecipato non lo saprei dire. Troppe volte. Sono stata ad incontri in Italia, Belgio, Francia, Lussemburgo e Germania."

In Italia dove?
"Nelle zone di Roma e Pisa, in città e località vicine.”

Perché non si parla mai di reti di pedofilia?
“Adesso non ci si occupa della pedofilia perché ci sono troppe implicazioni politiche e conseguenti coperture. E’ essenziale capire che questo fenomeno rappresenta un’emergenza grave. Sono a rischio tutti i bambini."

Lei sta scrivendo un libro, vero?
“Sì, ma nessuno si vuole assumere il rischio di pubblicare il mio libro.

Il motivo?
"Lo stesso per il quale la giustizia belga fa finta che il problema non esista."

Lei hai testimoniato dichiarando di aver visto la primogenita della signora Maoloni partecipare a questi appuntamenti, ma la giustizia belga non la ascolta..
“Nessuno mi ha mai chiamato in Belgio per ascoltare la mia testimonianza.”

Quando l'altra volta è venuta in Italia ha perso il computer che le è stato ridato senza disco fisso. Cosa c'era dentro?
“C’era il dossier penale, con le mie prove.”

Ha ricevuto minacce?
“Sì, ho ricevuto minacce e la mia auto è stata oggetto di atti vandalici. Mi hanno manomesso i freni.”

Ha ricevuto anche una telefonata da Rocco Antonini, il padre delle bambine?
“Si, sono stata minacciata al telefono da Rocco. Lui mi ha detto che mi avrebbe ucciso.”

Ha paura e cosa vuole fare ancora?
“Sì, ho una paura quotidiana per me e per le persone che amo. E' una battaglia. Rivivo l’orrore di quelle violenze giorno dopo giorno. Non mi voglio fermare, però. Per aiutare i bambini che sono vittima di questo dramma."

Uno dei mariti delle indagate nel caso di Rignano Flaminio ha detto che non esiste una
rete internazionale di pedofili, che sono solo storie…
“Quando si vuole uccidere il proprio cane, si dice che ha la rabbia…”


http://www.marione.net/notizie/legginews.php?Action=Full&NewsID=3649


IL MESSAGGERO.IT

Sabato 21 Febbraio 2009

Il caso

Le bimbe contese : Mastella non ricorda

L’emittente romana Centro Suono Sport ieri mattina ha dedicato uno special alla controversa vicenda delle bimbe belghe contese dai genitori, che dall’autunno 2006 alla primavera 2007 furono ospiti in Riviera di un istituto per minori. Nel dibattito, diffuso in Fm nella zona di Roma e in internet, sono intervenuti Maria Pia Maoloni, la mamma delle piccole F. e M., il nonno paterno delle bambine, Roberto Antonini, l'insegnate Capriotti, maestra della primogenita F. durante la permanenza di questa in città, la testimone francese Myriam Lutringer.
Il conduttore ha cercato di interpellare al telefono l’ex Guardasigilli Clemente Mastella. Dopo un laconico «non ricordo» ha riattaccato. L’ex Ministro fu sollecitato per chiedere la rogatoria internazionale per il padre delle bimbe, ma non attivò le procedure, lasciando scadere i termini per processare in Italia l’uomo, accusato dall’ex moglie di presunti abusi sulla primogenita.
Myriam Lutringer ha riferito di aver riconosciuto in Belgio le piccole mascherate da principesse o da spose, in ambienti pedofili. Il sig. Roberto ha chiarito che le nipoti si trovano in buona salute in Belgio e smentito la testimone, asserendo che la donna farebbe parte di una associazione francese non riconosciuta (circostanza confutata dalla Lutringer). Ha altresì affermato che la Maoloni avrebbe inventato gli abusi perché vuole le figlie tutte per sé e i certificati che attestano di essere sana di mente sarebbero opera di persone conniventi.
La Maoloni si è difesa, ricordando che i test che accertano la sua salute mentale sono stati redatti da psichiatri di fama quali Francesco Bruno di Roma e Giorgio Gagliardi di Milano. La maestra di F. ha spiegato di aver raccolto le confidenze dell’alunna, secondo cui la piccola sarebbe stata oggetto in Belgio di attenzioni particolari. L’8 luglio il nonno dovrà comparire al Tribunale di Fermo, con l’accusa di presunta violenza sulla nipote maggiore.
F.Cam.

http://sfoglia.ilmessaggero.it/view.php?data=20090221&ediz=07_MARCHE&npag=40&file=I_2964.xml&type=STANDARD

SE FAIRE TOURNER EN BOURRIQUE PAR LES PEDOPHILES...

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23/09/2013 : Arrêt de la Cour d'appel de Mons/Belgique accordant des contacts entre mes enfants et mes parents, dans un centre désigné par le juge; à raison d'une fois par mois - 1H30.  Depuis cette date jusqu'à ce jour, les rencontres organisées par le centre en question afin de permettre ces contacts entre mes enfants et mes parents ONT ÉTÉ SYSTÉMATIQUEMENT AVORTÉES PAR LE GÉNITEUR de mes enfants, rocco (dit rocky) antonini.

LA NON APPLICATION DU JUGEMENT PAR CET INDIVIDU DÉMONTRE BIEN SON SENTIMENT D’IMPUNITÉ' ET DE TOUTE PUISSANCE FACE AU SYSTÈME JUDICIAIRE BELGE.  SES AGISSEMENTS TRANSGRESSIFS ET RÉCURRENTS FACE AUX DÉCISIONS DE JUSTICE SONT SANS LE MOINDRE RESPECT NI POUR MES ENFANTS, NI POUR TOUTE LA BRANCHE MATERNELLE !!!!!!

IL SEMBLE AGIR EN TOUTE ASSURANCE ET SANS CRAINTE DE REPRÉSAILLES JUDICIAIRES !

SI J'AVAIS COMMIS UN MILLIEME DE CE QUE LE GENITEUR A DEJA FAIT COMME TRANSGRESSION DE LOI OU NON RESPECT DE DECISION JUDICIAIRE, CELA FAIT DEJA' BIEN LONGTEMPS QUE L'ON M'AURAIT BRULEE SUR UN BUCHER, SANS DOUTE FACE AU PALAIS DE JUSTICE SUR LA GRAND-PLACE DE MONS/BELGIQUE, en ayant pour spectateurs protagonistes et applaudissant, les antonini pédophiles (père et grand-père paternel) et leurs amis du monde politique et judiciaire !!!!

En parcourant tout mon dossier depuis ces dix années d'enfer et de lutte pour sauvegarder et protéger mes deux enfants, il est aisé de constater que rocky antonini et son père roberto antonini (2 pédophiles et proxénètes en liberté en Belgique), ont le POUVOIR (et en abuse à leur guise !); ceci grâce et à cause du système judiciaire de Mons qui leur a permis d'en avoir.

Voici ma lettre envoyée, hier (23/01/2014), à mes avocats :

"Chère Maitre,

Comme vous le constatez, rocco antonini nous fait tous tourner en bourrique, et ceci en TOUTE IMPUNITÉ !
Non seulement il se fiche totalement de la décision du juge de la Cour d'appel mais il se fiche surtout de l’intérêt de mes deux enfants.

La destruction psychologique qu'il a commis sur mes enfants est ignoble et inhumaine !

Ses agissements actuels pour évincer la dernière décision de la Cour d'appel sont significatifs de ce qu'il a toujours été envers mes enfants et envers toute la branche maternelle !

Sa personnalité tordue et dégénérée n'est que le fruit du mal absolu

Quel père, pour l'amour de son enfant et par amour pour celui-ci, lui interdirait d'avoir des contacts avec sa propre mère et ses grands-parents ???  Quel père, digne de ce nom, effacerait chez son enfant, la figure maternelle, la réduisant à néant ???

Nous sommes ici dans une autre dimension !!  Celle ou' l'abus de pouvoir et l'abus de violence sur deux enfants sont permis pour atteindre les finalités manipulatrices d'une personnalité perverse et criminelle !

Cet individu abuse de son pouvoir narcissique et mégalomane mettant ainsi en péril la santé psycho-affective de mes enfants et également celle de mes parents, qui sont des personnes âgées et ayant une santé fragile.

Vous comprendrez qu'en tant que maman de Fiona et Milla et par AMOUR pour elles, je ne peux rester indifférente et passive face à cette injustice qui dure depuis plus de 10 ans ! 

Ne rien faire signifierait etre complice de la destruction commise par le père sur mes enfants.

En conséquence, il est de mon DEVOIR de réagir contre cette ignominie !
 
Dans l'attente de vous lire et en vous remerciant, je vous prie d'agréer, Chère Maitre, l'expression de mes sentiments respectueux."

MAOLONI Maria-Pia,

PEDOPHILIE ET RITUELS SATANIQUES

POUR FIONA ET MILLA / MESSAGES DE LA MAMAN SUR INTERNET ET YOU TUBE

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MESSAGES DE MAOLONI MARIA-PIA 
A SES DEUX ENFANTS 
QU'ELLE NE VOIT PLUS DEPUIS 7 ANS

21/02/2014



22/02/2014

05/07/2013 :  VIDEO 1/ FIONA, MILLA, VOICI VOTRE CHAMBRE !


05/07/2013 :  VIDEO 2/ FIONA, MILLA, VOICI VOTRE CHAMBRE !

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16/02/2014
FIONA, MILLA, JE VOUS ATTENDS MES CHERIES ! JE SUIS ET SERAI TOUJOURS LÀ POUR VOUS ! JE VOUS AIME À L'INFINI. VOTRE MAMAN ADORÉE , Maria-Pia ♡♥♡♥


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Novembre 2013
FIONA, MILLA, MES DEUX ENFANTS CHERIES QUE J'AIME PLUS TOUT !
"Je n'ai plus de nouvelle de vous depuis presque 7 ans ! Maman ne vous abandonnera JAMAIS!
Sachez que je fais l'impossible pour obtenir des contacts avec vous, ainsi que toute ma famille, mais votre père, le SPJ de Mons (directeur: bensaida taoufik) et le tribunal de Mons nous empêchent d'avoir ces contacts avec vous !
Je vis en Italie et je ne peux pas retourner, pour le moment, en Belgique car il y a un mandat d'arrêt pour enlèvement d'enfant contre moi, émis par la Belgique. Ce mandat d'arrêt a été jugé comme non fondé par l'Italie mais la Belgique ne veut pas l'annuler. De cette façon, ils nous maintiennent séparées : vous en Belgique et moi, en Italie. Mais sachez que rien ni personne ne pourra nous empêcher de nous aimer!

L'AMOUR EST PLUS FORT QUE TOUT MES CHERIES !
N'OUBLIEZ JAMAIS QUE JE VOUS AIME A L'INFINI ET QUE RIEN NI PERSONNE NE POURRA NOUS EMPECHER DE NOUS AIMER !!!!

Votre maman chérie, MAOLONI Maria-Pia"

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09/01/2014
FIONA, MILLA, MES DEUX ENFANTS CHÉRIES, VOUS ME MANQUEZ ÉNORMÉMENT ! CELA FAIT 7 ANS QUE L'ON NOUS A INJUSTEMENT SÉPARÉES ET DEPUIS LORS, MON CŒUR S'EST ARRÊTÉ DE BATTRE ! VOUS ÊTES CONTINUELLEMENT DANS MES PENSÉES ET DANS MES PRIÈRES, MES DEUX MAGNIFIQUES TRÉSORS. JE VOUS AIME PLUS QUE TOUT ! ♡♥♡♥
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29/11/2013
FIONA, si tu lis ce message, sache que je pense continuellement à toi et à ta sœur et que vous me manquez très fort, mes chéries ! Tu peux me contacter à tout moment. Je vous AIME À L'INFINI mes deux trésors! Votre maman adorée. Maria-Pia ♡♥♡♥
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01/07/2013
FIONA, MILLA, JE VOUS AIME A L INFINI ET JAMAIS JE NE CESSERAI DE VOUS AIMER MES ENFANTS CHERIES. JE NE VOUS ABANDONNERAI JAMAIS ! QUOI QUE L ON VEUT DISE OU QUOI QUE L ON VOUS FASSE, MON AMOUR POUR VOUS EST SANS LIMITE MES TRESORS !
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 28/01/2014
JE VOUS AIME MES CHERIES, A L'INFINI ET POUR L'ETERNITE !
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 PERSONNE N'A LE DROIT DE SÉPARER UN ENFANT DE SES PARENTS !!! SURTOUT SI CETTE SEPARATION SE FAIT CONTRE LA VOLONTE ET LE RESPECT DE L'ENFANT !! SURTOUT SI CETTE SEPARATION A LE SEUL ET UNIQUE BUT DE PROTEGER LES PEDOPHILES ET LEURS COMPLICES INSTITUTIONNELS ! SURTOUT SI CETTE SEPARATION GARANTIE LA PERENNITE DU RESEAU PEDO-CRIMINEL DANS LES SPHERES POLITIQUES, JUDICIAIRES ET INSTITUIONNELLES D'UN OU DE PLUSIEURS PAYS !

ISOLER L'ENFANT DU PARENT PROTECTEUR EST L'OBJECTIF RECHERCHE' DU RESEAU PEDO-CRIMINEL.
EMPECHER L'ENFANT DE S'EXPRIMER SUR LES VIOLS QU'IL A SUBIS ET EMPECHER LE PARENT PROTECTEUR DE DENONCER SES BOURREAUX, SONT LES 2 FINALITES DU RESEAU PEDO-CRIMINEL.

MALHEUREUSEMENT, CETTE REALITE QUI TUE NOS ENFANTS ET QUI PROTEGE CE RESEAU, EXISTE BEL ET BIEN ! MAIS SON MODE OPERATOIRE ECHAPPE A' LA CONSCIENCE DE BEAUCOUP DE CITOYENS CREDULES ET CONFIANTS EN UNE JUSTICE JUSTE ET FONCTIONNELLE (COMME JE L'ETAIS AUPARAVANT, C'EST-A-DIRE AVANT LE DEBUT DE MA DESCENTE AUX ENFERS) !!!

C'EST DONC POUR CELA QU'IL NE FAUT JAMAIS CESSER DE DENONCER CES CRIMES CONTRE L'ENFANCE ET LES STRATEGIES MANIPULATOIRES UTILISEES PAR LE SYSTEME POUR LES CAMOUFLER ET ANNHILER LE/LES PARENT(S) PROTECTEUR(S) !

APPEL DE LA MAMAN AUX AUTORITES BELGES ET ITALIENNES (en français et en italien)

MANIFESTATION A RIGNANO FLAMINIO (ROMA) - 28/02/2009

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MANIFESTATION A RIGNANO FLAMINIO (ROME), LE 28/02/2009
Contre le silence ! Manifestation à Rignano Flaminio le 28 février 2009 (ROME)

J'espère qu'aujourd'hui c'est seulement le commencement, c'est seulement
ensemble que nous allons pouvoir y arriver, vous avez compris combien
ils sont puissants, vous avez compris quelle organisation, vous avez
compris qu'ils veulent détruire nos enfants !

« Avec la lumière l'homme en noir ne fait plus peur ! »

Il y a des intérêts énormes protégés par des personnes influentes et
importantes. C'est pour ça que c'est un mur qu'on arrive pas à grimper
mais si le peuple commence vraiment à se lasser et à manifester …quelque
chose pourra forcement se faire.

Il y a des enfants, en ce moment, partout dans le monde, qui subissent des
sévices et qui sont abusés.

Personne ne bouge d'un doigt ! Nous devons le faire nous tous ensemble ! Je
ne sais pas si vous avez entendu la dernière enquête spéciale faite par
Marione sur la pédophilie... « oui »... vous l'avez entendue? Il y avait
une maman Belge, en Mai, ça fera deux ans qu'elle ne sait plus rien de
ses filles !

« Elles sont avec le grand-père pédophile ! »

Exact!! c'est la maman belge qui est ici avec nous : Maria Pia Maoloni.

« MARIA PIA !!!! »

Il y a un silence comme ils l'ont tous dit, c'est le silence qu'il y a
autour de cette situation. CE RESEAU… Après l'émission de Marione qu'ils ont fait
pour les deux enfants belgique- Italie, tout est plus clair ! C'est une émission
qui m'a vraiment touchée. Je suis rentré à la maison et j'ai passé
certainement l'une des après-midi les plus laides de ma vie. Je suis
rentré et j'ai embrassé ma fille cadette. Je n'arrive pas à comprendre
comment il y a autant de silence autour de tout ça… Matrix, Porta a Porta (émissions TV)… Il n’y a jamais personne qui parle d’un problème aussi grave pour la race humaine ou plutôt contre la race humaine.

J'ai su par Marione qu'il y avait cette manifestation à laquelle j'ai
adhéré tout de suite sans y réfléchir deux fois et je suis très content
de ça, je suis fier d'y avoir été et d'y avoir vu une masse de bonnes
personnes, tous pour une seule pensée, pour nous et nos enfants, un
futur meilleur plus plaisant.

Je n’ai aucune couleur politique. Nous n'avons pas payé le bus aux gens, nous n'avons pas attiré les gens avec une grande fête, il n'y avait pas d'intérêt, de distribution de
sandwichs. Les gens sont venus d'eux mêmes, grâce à eux, et seulement
grâce à eux.

Ceci est une manifestation juste parce que toute chose qui est contre la
violence sur les mineurs est une cause juste. Nous, en tant qu'activistes
de Rome, nous sommes fiers de participer. Entretemps j'affirme qu'aucun
d'entre nous n'est contre les gens de ce village. Nous ne sommes pas
contre eux.

Ils nous ont décrit comme un groupe de terroristes, de voyous, de
monstres, de personnes qui seraient venues ici pour détruire le village,
sans comprendre que nous sommes venus ici pour apporter un sourire au
village !

Faudrait leur dire… Qu'ils comprennent qu’on a rien contre les habitant d'ici !

Parce que, nous, ce qu'on veut, c'est découvrir toutes les pièces fermées
ou il y a des intérêts économiques, où il y a tant de mal qu'on ne sait
plus les faire sortir dehors, et tout cela ne sort pas parce qu'il y a
des complicités même au niveau le plus haut. Mais il y a des gens
propres, ce que vous êtes, des gens qui veulent pour les enfants un
futur meilleur avec une vie différente et qui combattront toujours pour
cela, pour dire à tout le monde qu'il n'y a pas seulement des endroits
où on ne pense qu'à ses intérêts.

Nous, les enfants on ne va pas lâcher !!
CONTRE LE SILENCE !
Encore merci à marione qui a su organiser ceci et qui grâce à sa radio, a
donné à toutes ces personnes la parole, toutes ces voix qui n'ont pas
toujours la possibilité de donner leur participation et d'avoir la
justice avec elles.


INTERVIEW CHOC DU TEMOIN FRANCAIS:

« J’ai été adoptée à cinq ans et j’ai commencé à vivre ces horreurs à l’âge de sept ans. J’ai subi des abus par mes parents adoptifs, mère et père. Au début, c’était des approches délicats, puis de plus en plus terribles. De victime, je suis également devenue abusante. Cela a été un parcours de pressions psychologiques. Ils te font croire qu’il s’agit d’une situation normale. A un certain moment, j’ai constaté que mon frère était en train de vivre la même tragédie. Ce n’était plus possible. Je me suis adressée à une association internationale reconnue et qui a son siège à Paris ».

Comment est ramifiée et structurée cette loge de pédophiles ?
« Il s’agit d’une organisation internationale avec une hiérarchie bien précise. Elle a une forme pyramidiale. Au somment de tout, il y a un chef qui commande et dicte les ordres du haut. Puis, il y a les responsables nationaux, qui à leur tour, font filtrer les directives dans différents pays. La communication voyage à travers internet, avec des codes bien précis ».

Myriam, vous êtes témoin dans le procès sur le cas Maoloni. Vous avez déclaré avoir rencontré les enfants et les Antonini, père et fils. Est-ce vrai ?
« Oui, je le confirme et je ne changerai pas une virgule de mes déclarations ».

Dans quel contexte, vous avez vu les enfants et les sieurs Antonini ?
« Je les ai rencontrés oui, mais j’ai vu seulement la fille aînée de Madame Maoloni. Je l’ai croisée dans ce qu’ils appellent, les cérémonies sexuelles. Les rencontres ont eu lieu en Belgique, en France, en Italie et en Allemagne. Dans ces contextes, les enfants subissent des abus par des personnes importantes et qui ont un certain pouvoir. »

Qui fréquente ces rencontres ?
« Ce ne sont pas des ouvriers. Ce sont des personnes aisées, politiciens, gens de pouvoir et qui ont de l’argent. C’est pour cette raison que la justice n’avance pas. Parce qu’il existe des protections importantes autour de ce réseau ».

Qui étaient tes parents adoptifs ?
« Mes parents étaient aisés ».

Comment s’organisent ces rencontres ?
« Le chef de l’organisation appelle les subordonnés au niveau national. Ils apportent aussi les enfants. Les communications arrivent sur internet, avec des codes bien précis ».

Qui sont les enfants victimes du réseau ?
« La grande majorité des enfants qui disparaissent sont des mineurs abusés dans ce réseau de pédophiles internationaux. Il y a des personnes payées pour enlever les enfants. Les victimes sont choisies sur base de critères précis, comme la couleur des cheveux et des yeux ».

Rentre t-on dans ce réseau seulement pour l’argent ?
« Non, pour le plaisir et l’argent ».

Comment surviennent ces rencontres ?
« Ce sont des cérémonies, comme celle de l’habit de mariée. Elles se basent sur des rituels précis. Ce ne sont pas uniquement les enfants qui doivent être travestis, les adultes le font aussi. »

Combien de fois avez-vous participé à ce type de rencontres et ou’ ?

« Combien de fois j’y ai participé, je ne saurais pas le dire. De nombreuses fois. Je suis allée à des rencontres en Italie, en Belgique, en France, au Luxembourg et en Allemagne ».

En Italie, ou’ ?
« Dans la zone de Rome et de Pise, en ville et régions voisines ».

Pourquoi l’on ne parle jamais de ces réseaux de pédophilie ?
« On ne se préoccupe pas de la pédophilie car il y trop d’implications politiques et de conséquentes protections. Il est important de comprendre que ce phénomène représente une urgence grave. Tous les enfants sont en danger ».

Vous êtes en train d’écrire un livre, est-ce vrai ?
« Oui, mais personne ne veut assumer le risque d’éditer mon livre. »

Le motif ?
« Le même pour lequel la justice belge fait semblant que le problème n’existe pas ».

Vous avez témoingné en déclarant avoir vu la fille aînée de Madame Maoloni participer à ces rencontres, mais la justice belge ne vous a jamais entendue.
« Personne ne m’a appelée en Belgique pour écouter mon témoignage ».

Quand vous êtes venue la première fois en Italie, vous avez perdu votre ordinateur et il vous a été rendu sans disque dur. Que contenait-il ?
« Il y avait le dossier pénal, avec mes preuves ».

Avez-vous reçu des menaces ?
« Oui, j’ai reçu des menaces et ma voiture a été objet d’actes de vandalisme. Ils m’avaient détruit les freins ».

Vous avez aussi reçu un coup de téléphone de Rocco Antonini, le père des enfants ?
« Oui, j’ai été menacée au téléphone par Rocco. Il m’a dit qu’il me tuerait ».

Vous avez peur et que voulez-vous faire encore ?
« Oui, j’ai une peur au quotidien pour moi et pour les personnes que j’aime. C’est une bataille. Je revis l’horreur de ces violences jour après jour. Mais, je ne veux pas m’arrêter. Pour aider les enfants qui sont victimes de ce drame. »

Un des maris des inculpés dans le cas de Rignano Flaminio a dit qu’il n’existe pas un réseau international de pédophiles, que ce sont des histoires….
« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage… »

INTERVIEW A LA RADIO "CENTRO SUONO SPORT - ROMA", LE 20 FEVRIER 2009.
POUR ECOUTER L'INTERVIEW, ALLER SUR LE BLOG SUIVANT:

http://www.dalpaesedeibalocchi.com/?p=2251
http://www.marione.net/notizie/legginews.php?Action=Full&NewsID=3649

BENSAIDA TAOUFIK,DIRECTEUR SPJ MONS/ MES COURRIERS...

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RE: télégrammes et colis cadeaux envoyés aux enfants
De : MAOLONI MARIA PIA
Envoyé : mer. 17/06/09 17:56
À : taoufik.bensaida@cfwb.be
Cc :
Monsieur BENSAIDA Taoufik,

J’ai bien reçu votre email daté du 17/06/2009 à 13H56 et je souhaiterais y apporter mes commentaires :

Vous me confirmez que toute forme de correspondances que j’ai envoyée à mes enfants et mentionnant l’adresse du SPJ de Mons est bien arrivée « à bon port et remise par vos soins au papa », pour employer vos termes entre guillemets. Ce que vous écrivez me laisse un énorme doute et la question que je me pose est la suivante : « comment pouvez-vous affirmer que toutes les correspondances et colis cadeaux que j’ai envoyés à mes enfants soient arrivés « à bon port »,c’est-à-dire à mes enfants, si vous dites ensuite que vous les avez remis au père !!??? Pour en être certain et aussi convaincu que vous l’écrivez, dorénavant, vous devriez transmettre mes correspondances directement et en mains propres, à mes enfants.

Vous écrivez ensuite que ce système a été mis en place en 2008, visant le maintien de lien entre moi-même et mes enfants. Je voulais vous rappeler que le dernier courrier que j’ai reçu de mes enfants date du 10/03/2009 (une seule page contenant uniquement quelques collages d’images de chien) et le courrier précédant datait de juin 2008 ; donc un intervalle de presqu’UN AN entre ces deux courriers !!

Pourriez-vous, à l’avenir, vous assurer qu’une fréquence régulière (minimum une fois par mois) soit établie dans la correspondance que mes enfants m’envoie ?

Par ailleurs, je voudrais vous raffraîchir la mémoire car je m’aperçois que vous réduisez la réalité à votre avantage, bien évidemment, sans tenir compte du contexte et de l’origine de mes actions. En effet, vous écrivez que j’ai « saboté » cette initiative en publiant des photos et en prétendant que mes deux enfants étaient « kidnappées » et « violées » (je place les guillements là ou’ vous les avez placés dans votre email).

1° « saboté » : je n’ai aucunement « saboté » votre initiative de ce prétendu rapprochement mère-enfants, étant donné que c’est vous-même qui l’aviez déjà SABOTE’ le 21 décembre 2007. Ce fait vous a complètement échappé de votre mémoire me semble-il ! Je vais donc vous le rappeler :

Le 20 décembre 2007, vous m’aviez convoquée à vos bureaux. Ne pouvant m’y rendre, étant donné que je suis bloquée en Italie suite au mandat d’arret européen lancé par Rocco Antonini et le tribunal de Mons, contre moi pour enlèvement d'enfants (alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!), ce sont les avocats des deux parties et le père qui y étaient donc présents. Durant cet entretien, vous aviez déclaré qu’un contact téléphonique sera autorisé entre mes enfants et moi-meme, le 21 décembre 2007 à 17 heures.
Un simple coup de fil qui représentait, pour moi, un soulagement et un espoir énorme. En effet, j’étais sans aucune nouvelle ni aucun contact avec mes filles depuis le 19 mai 2007 (le jour de leur rapatriement en Belgique), c'est-à-dire depuis presque 10 mois !!! Tout contact, même téléphonique, ayant été refusé par le père et ses avocats.

Le lendemain (le 21/12/2007), au lieu d'avoir, comme vous l’aviez convenu la veille, mes enfants au bout du fil, c’est vous que j’ai eu au téléphone. Vous aviez changé d’avis et vous m’avez expliqué que je devais cesser la "guerre", « ne plus faire de bruit autour de mon dossier; arreter internet et la presse… »… si j’espérais revoir mes filles. Que s’est-il donc passé en quelques heures et qui vous a fait changer d’attitude ?? Ou plutôt, quelles ont été les consignes que l’on vous a transmises afin que vous vous opposiez subitement à ces contacts entre mes enfants et moi-meme ? Il est inutile de vous défendre en argumentant mes lettres sur internet puisque mes avocats vous les avez déjà exposées lors de cet entretien déroulé en vos bureaux, le 20/12/2007 et, ce fait ne vous avait pas freiné dans la volonté d’établir un contact téléphonique entre mes enfants et moi-meme pour le 21/12/2007.

C’est donc, à la suite de ce revirement de situation et de votre attitude déshumanisée et illégitime, que j’ai publié un avis de recherche. Je vous rappelle également, en espérant que votre conscience ne vous pèse pas trop, que JE SUIS SANS CONTACT ET SANS NOUVELLE DE MES DEUX ENFANTS DEPUIS PLUS DE DEUX ANS !!! POUR LE SIMPLE ET UNIQUE MOTIF QUE VOUS VOUS Y ETES OPPOSE’ !
2° « kidnappées » : je vous rappelle que le rapatriement de mes enfants en Belgique est considéré ILLEGITIME pour la Cour Supreme de Cassation à Rome (décision de juin 2008). En effet, mes enfants ont été rapatriées le 19-05-2007, en Belgique, suite à une décision du Tribunal de la jeunesse de Ancona (Italie) datée du 17/05/2007 ; alors que ce meme Tribunal n’était pas compétent pour décider puisqu’il a chevauché la décision de la Cour d’appel de Ancona, datée du 12/12/2006, et qui avait révoqué le rapatriement de mes enfants et décidé de leur maintien sur le territoire italien. Par conséquent, mes enfants ont bel et bien été kidnappées, lors d’une promenade et rapatriées illégalement en Belgique.

3° « violées » : vous continuez à nier les viols que subissent mes enfants dans le milieu paternel ainsi que l’existence de la procédure pénale toujours en cours contre ces individus que sont le père, Antonini Rocco et le grand-père paternel, Antonini Roberto ! Je vous rappelle que j’ai déposé un pourvoi en cassation, le 05/05/2009, contre le jugement belge de non-lieu daté du 21/04/2009. De plus, vous omettez également le renvoi en justice du grand-père, en Italie. Un dossier pénal est ouvert en Italie contre ces deux sujets et l’audience pénale à charge de Antonini Roberto, inculpé de viols sur mineurs, prostitution de mineurs et détention de matériel pédo-pornographique, se déroulera le 08 juillet 2009 au Tribunal de Fermo (Italie). Arretez de maintenir une attitutde d’hypocrisie et de lacheté, Monsieur Bensaida ! Vous essayez sans doute de vous convaincre vous-meme en pretextant systématiquement le soi disant « conflit parental » au lieu d’invoquer plutôt la problématique de la pédo-criminalité. Vous savez pertinemment bien que, dans le cadre de mon dossier, il ne s’agit nullement d’un règlement de compte entre parents, mais bel et bien de crimes sur mineurs et de protections pédo-criminelles.

Mes enfants, en étant dans le milieu paternel depuis deux ans, sont en danger de vie ! Non seulement vous ne les avez pas protégées contre la violence sexuelle qu’elles subissent dans le milieu paternel mais vous avez continué à les maintenir dans un profond sentiment de détresse et d’abandon en maintenant ce déni de tout contact humain et légitime entre mes enfants et moi-meme, leur maman.

Comment pouvez-vous encore parler de bonheur pour mes enfants puisque vous les avez rendues orphelines de mère depuis DEUX ANS ?

Vous considérant comme une simple boite postale, je vous demanderai donc de transmettre, personnellement et en mains propres à mes enfants (et non plus au père), les correspondances et colis cadeaux que je leur envoie régulièrement.

De meme, je vous demande de veiller à ce que mes enfants m’envoient leur correspondance de façon régulière, à raison de minimum une fois par mois.

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire" (A. Einstein)

MAOLONI Maria-Pia,
MAMAN de FIONA et MILLA ANTONINI
« Sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »

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Date: Wed, 17 Jun 2009 13:55:40 +0200
From: taoufik.bensaida@cfwb.be
To:
Subject: télégrammes et colis cadeaux envoyés aux enfants

Madame MAOLONI MARIA PIA

J'ai bien reçu vos email concernant les télégrammes et les cadeaux que vous avez envoyés aux enfants.
Je peux certifier que toute forme de correspondance destinée aux enfants et mentionnant l' adresse du SPJ de MONS
sont bien arrivés à bon port et remis par mes soins au papa.
Tout autre envoi adressé à une autre destination que le SPJ n' est nullement soumis à mon contrôle et je
ne peux d' aucune manière en garantir l' arrivée à bon port .
Je vous invite donc de mentionner uniquement l'adresse du SPJ de MONS pour toute correspondance avec les enfants.
Je voudrais vous rappeler que ce système a été mis en place en 2008, visant le maintien de lien entre vous et vos enfants
et qui devait progressivement aboutir à un plus grand rapprochement. Hélas, vous aviez complètement "saboté" cet initiative
en publiant des photos récentes envoyées par le papa pour montrer que les deux fillette se portaient bien et en prétendant
abusivement que FIONA ET MILLA étaient "kidnappées", "violées"... L'avis de "recherche"erroné aurait pu mettre vos enfants
en grand danger, indépendamment de l' impact qu' une telle attitude pouvait avoir sur l'équilibre des enfants déjà fortement
ébranlé par le conflit de leurs parents.
J' ose espérer que des perspectives de travail pourront être envisagées avec vous sur des bases nouvelles qui
permettraient d'avancer dans ce dossier et de rencontrer l' intérêt des enfants mais également des deux parents.
Dans l'état actuel des choses, le règlement de compte entre parents occulte l' intérêt supérieur des enfants et la préoccupation
première demeure celle de les "protéger" et de les " préserver "de ce conflit en attendant que chaque parent se remette réellement en question et qu'il oeuvre "sincèrement" au "bonheur" et à la stabilité de ses enfants
qui ont besoin "elles" de leurs DEUX PARENTS
______________________________________________________________________________

De : MAOLONI MARIA PIA (mariapia@live.fr)
Envoyé : mer. 10/06/09 09:44
À : spj.mons@cfwb.be

9 pièces jointes
TELEGRAMM...jpg (70,8 Ko), TELEGRAMM...jpg (52,4 Ko), TELEGRAMM...jpg (41,2 Ko), PACK CADE...jpg (109,2 Ko), TELEGRAMM...jpg (47,7 Ko), TELEGRAM ...jpg (63,3 Ko), PACK CADE...jpg (72,0 Ko), PACK CADE...jpg (203,9 Ko), PACK CADE...jpg (82,5 Ko)

Italie, le 10 juin 2009

Monsieur Bensaïda Taoufik,
directeur du service de protection judiciaire de Mons,

Au nom de mes enfants, Fiona et Milla ANTONINI, qui n'ont plus aucune nouvelle ni aucun contact avec moi, leur maman (même par téléphone !); ceci depuis le jour de leur rapatriement en Belgique (le 19 mai 2007), c'est-à-dire depuis DEUX ANS (TOUT CONTACT AYANT ETE REFUSE’ PAR VOUS-MEME ET PAR LE TRIBUNAL DE MONS !);

Au nom de l'intérêt supérieur de mes enfants et du respect de la Convention européenne des Droits de l'Enfant et des Droits de l'Homme (droits qui ont été, jusqu'à présent, bafoués par vous et certains magistrats du Tribunal de Mons-Belgique, auriez-vous l'obligeance de vérifier si tous les télégrams et colis cadeaux que j'ai envoyés à mes enfants (aux adresses ci-dessous) soient bien arrivés entre leurs mains. Pourriez-vous me tenir informée?
N'ayant AUCUNE information concernant mes enfants depuis DEUX ANS, je n’ai aucune certitude que tous les télégrams et colis que je leur envoie leur ont été effectivement distribués! Malgré mes nombreuses requêtes afin d'obtenir un droit strictement légitime et VITAL avec mes deux filles, à savoir celui de maintenir des contacts directs et personnels entre une mère et ses enfants; ce droit a été, jusqu’à présent, violé par vous et le Tribunal de Mons (Belgique). Plus qu’illégal, ce déni de droit est totalement INHUMAIN ! Mes enfants n’ont plus aucune nouvelle, ni de leur maman, ni de toute la branche maternelle ; tout contact ayant été refusé, de façon non fondée et en toute illégalité, par vous, le père (antonini rocco) et le Tribunal de Mons !
A chacun d’assumer les responsabilités dans les fonctions qu’il exerce. C’est la raison pour laquelle je vous demanderai de veiller à la distribution des courriers et colis que j’envoie à mes deux enfants et de m’en tenir informée.
En tant que maman, je demande, en urgence, d’obtenir des contacts directs avec mes enfants.
MAOLONI Maria-Pia,

MAMAN de FIONA et MILLA ANTONINI,
"Sauver un enfant, c'est sauver l'humanité entière"

TELEGRAMS ET COLIS CADEAUX ENVOYES A’ MES ENFANTS :

Le dernier colis cadeau que j’ai envoyé à mes deux enfants, en mai 2009, à l’adresse rue Boussart n°8 à 7130/Binche, m’est revenu en arrière, à mon domicile en Italie . Donc, je suppose que le père a décidé de ne plus accepter les colis que j’envoie à mes enfants, à l’adresse à Binche (Point N° 14).

Je vous transmets en fichiers-joints les différents telegrams et colis cadeaux que j'ai envoyés à mes enfants, depuis leur rapatriement en Belgique.

1) TELEGRAM du 07/04/2008 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla, SPJ de Mons /taoufik bensaida, Place du Parc, 27 - 7000 Mons)

2) TELEGRAM du 22/04/2008: adresse de destination (Pour Fiona (anniversaire), Rue Hector Delanois, 13 - 7000 Cuesmes)

3) TELEGRAM du 22/04/2008 : adresse de destination (Pour Fiona (anniversaire), SPJ de Mons/ taoufik bensaida ...)

4) COLIS CADEAU du 06/06/2008 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), SPJ de Mons / taoufik bensaida...)

5) TELEGRAM du 10/06/2008 : adresse de destination (Pour Milla (anniversaire), SPJ de Mons / taoufik bensaida...)

6) TELEGRAM du 20/08/2008: adresse de destination (Pour Fiona et Milla), SPJ de Mons / taoufik bensaida...)

7) COLIS CADEAU du 08/10/2008 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), SPJ de Mons/taoufik bensaida...)

8) TELEGRAM et COLIS CADEAU Noël du 23/12/2008: adresse de destination (Pour Fiona et Milla), SPJ de Mons/ taoufik bensaida...)

9) TELEGRAM du 16/02/2009 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), Rue Boussart 8 (Binche)

10) TELEGRAM et COLIS CADEAU du 20/03/2009 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), Rue Boussart 8 (Binche)

11) TELEGRAM et COLIS CADEAU Pâques du 03/04/2009 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), Rue Hector Delanois 13 (Cuesmes)

12) TELEGRAM et COLIS CADEAU du 21/04/2009 (Anniversaire de Fiona et cadeau pour Fiona et Milla), Rue Boussart 8 (Binche)


13) TELEGRAM et COLIS CADEAU du 19/05/2009 : adresse de destination (Pour Fiona et Milla), Rue Boussart 8 (Binche)

14) Document de la poste sur le colis cadeau qui m’est revenu en arrière (MAI 2009).

15) LETTRE, TELEGRAM et COLIS CADEAU du 09/06/2009 (Anniversaire de Milla et cadeau pour Fiona et Milla) + colis cadeau du 19/05/2009 réexpédié : adresse de destination (Pour Fiona et anniversaire de Milla), SPJ de Mons – Taoufik Bensaida, Grand Rue 67-69 à 7000- Mons

N.B : La suite des fichiers-joints se trouve dans les emails suivants que je vous envoie ce jour.
Cet email et les autres, réunissant la suite des fichiers-joints,sont envoyés aux personnes suivantes :
- Mr Bensaida Taoufik, directeur du SPJ de Mons (spj.mons@cfwb.be);
- Mes avocats : Maître Delogne, Maître De Beco, Maître Taormina
- Mr Devos Bernard, délégué général des droits de l’enfant (dgde@cfwb.be) ;
- Mr Stefaan De Clerck, Ministre de la Justice (stefaan.declerck@just.fgov.be);
- Mme Lambot Laetitia,Secrétariat de la Commission de Déontologie, Direction générale de l'Aide à la Jeunesse (laetitia.lambot@cfwb.be)
- Madame Laurette Onkelinx,Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales et de la Santé (info@laurette-onkelinx.be);
- Mr Wathelet Melchior, adjoint au Premier ministre, et secrétaire d’Etat à la Politique des familles (info@wathelet.fed.be)
- Monsieur Karel De Gucht, Vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères (info@diplobel.fed.be)
- Mme Navanethem Pillay, Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme (infodesk@ohchr.org)
- UNICEF cbu@unicef.be , brussels@unicef.org

COUR DE CASSATION: RAPATRIEMENT ILLEGAL DE MES ENFANTS

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LE 27-05-2008, LA COUR DE CASSATION A ROME A DECIDE (SANS RECOURS POSSIBLE) QUE LE RAPATRIEMENT DE MES ENFANTS EN BELGIQUE EST ILLEGAL.

FIONA ET MILLA NE POUVAIENT DONC PAS ETRE EXTRADIEES EN BELGIQUE, ET DEVAIENT DONC RESTER EN ITALIE. OR, LE 19-05-2007, MES ENFANTS ONT ETE ENLEVEES, A LA DEMANDE DU PERE AUPRES DES AUTORITES BELGES ET ITALIENNES.

DEPUIS LEUR DEPART EN BELGIQUE, JE N'AI PLUS AUCUNE NOUVELLE DE MES ENFANTS!!!! CELA FAIT 6 ANS MAINTENANT QUE NOUS SOMMES, MES ENFANTS ET MOI, SEPAREES ILLEGALEMENT ET INHUMAINEMENT !!

LE PERE, AVEC LA COMPLICITE DES INSTANCES JUDICIAIRES MONTOISES (BELGIQUE) ET DU SERVICE DE PROTECTION JUDICIAIRE DE MONS (BELGIQUE), ONT REFUSE TOUT CONTACT ENTRE MES ENFANTS ET MOI-MEME (MEME PAR TELEPHONE)!!!

SUITE A UNE DECISION DE LA COUR D'APPEL DE MONS, J'AI PU OBTENIR, APRES 5 ANS DE PRIVATION DE MES ENFANTS,  DE BREFS CONTACTS PROTEGES VIA SKYPE A RAISON DE 15 MINUTES PAR ENFANT, UNE FOIS PAR MOIS : DU 09/03/2012 JUSQU'AU 14/12/2012.  CES CONTACTS AVEC MES ENFANTS ETAIENT UN SOUFFLE D'ESPOIR DE RAPPROCHEMENT TANT POUR MES PETITES QUE POUR MOI, LEUR MAMAN. 
MAIS HELAS, CET ESPOIR S'EST ETEINT SANS AUCUNE RAISON FONDEE.
EN EFFET,  DEPUIS LE 14/12/2012 , LA COORDINATRICE DE L'ESPACE RENCONTRE A MONS, SABINE VAN TRIMPONT,  REFUSE DE CONTINUER A' ENCADRER CES CONTACTS ET LES A INTERROMPUS !  DEPUIS DECEMBRE 2012, JE N'AI PLUS AUCUNE NOUVELLE DE MES DEUX ENFANTS !!
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BREVE SYNTHESE DE MON AFFAIRE, POUR MIEUX COMPRENDRE LES IMMENSES ANOMALIES ET SURTOUT LES GIGANTESQUES TRANSGRESSIONS DE LOIS LES PLUS FONDAMENTALES ET EUROPEENNES.

Dans l'affaire FIONA et MILLA, mes deux enfants, il faut savoir que l'arrêt de la Cassation italienne émis en 2008 révoque le rapatriement de mes enfants en Belgique. Cela signifie que le rapatriement de mes enfants en Belgique, survenu en 2007 est considéré comme ILLÉGAL par la Cour Suprême italienne.  En d'autres termes, les enfants ont été enlevées et portées en Belgique ILLÉGALEMENT !

Depuis, 2009, donc depuis 4 ANS  j'essaie de faire reconnaître et exécuter cet arrêt en Belgique, mais en vain !!! Tout est fait, au sein du tribunal de Mons/Belgique pour ralentir cette procédure.
Cela fait déjà 4 ans que je me bats pour cette reconnaissance et exécution.
Or, il faut savoir que selon le Règlement Bruxelles II bis, article 31.1, « la juridiction saisie de la requête statue à bref délai »  Ces délais excessifs dans la procédure violent l’ article 6 (garantie de délai raisonnable), l’article 8 (droit au respect de la vie familiale) de la Convention Européenne sur les Droits Humains et l’article 31 du Règlement (CE) N.2201/2003 du Conseil du 27/11/2003 relatif à la compétence, la reconnaissance et l’exécution des décisions en matière matrimoniale et en matière de responsabilité parentale abrogeant le Règlement (CE) N.1347/2000.

Par ailleurs, au moment de leur rapatriement en Belgique (en 2007), mes enfants ont été confiées, par le tribunal de Mons, au milieu paternel pédophile.  En effet, à cette période, l'instruction pénale pour viols sur mineurs à charge du père (rocco antonini) et du grand-père paternel était toujours ouverte en Belgique.  En Italie, est toujours en cours le procès pénal pour viols sur mineurs, prostitution de mineurs et détention de matériel pédo-pornographique à charge de roberto antonini (grand-père paternel) !!!
Dans cette même procédure, rocco ANTONINI, le père de Fiona et de Milla, est suspecté sur la base des mêmes accusations que celles imputées à roberto ANTONINI.
Toutefois, étant donné que pour enquêter contre Rocco ANTONINI, étant exclusivement citoyen belge, il était nécessaire d’obtenir l’autorisation du Ministre de la Justice italienne, celui-ci n'ayant pas signé dans les délais nécessaires la rogatoire internationale.  Donc, l'Italie a pu ouvrir un procès contre le grand-père italien mais pas contre le père citoyen belge.  La gravité de la situation et qui transgresse le respect absolu de la Convention Internationale sur le respect des droits de l’Enfant, est que mes deux enfants sont TOUJOURS ACTUELLEMENT DANS LE MILIEU PATERNEL PEDOPHILE, SANS AUCUNE PROTECTION et avec le danger potentiel de subir des violences sexuelles.

Depuis la date du 19 mai 2007, jour du rapatriement de mes enfants, donc depuis 6 ANS,  je n'ai plus revu mes enfants ; ne peux exercer aucun droit de visite ; ne sais pas où se elles trouvent et suis toujours menacée d’être arrêtée si j'entendais revenir en Belgique.

La Cour Suprême de la Cassation italienne, avec un jugement d’une absolue rareté dans le système judiciaire italien, a annulé sans renvoi, c’est-à-dire sans aucune possibilité de réplique, le jugement de restitution des enfants au père.

Par conséquent, cela signifie que les enfants devaient rester en Italie et ne pouvaient donc être livrées au père ; qui à ce jour, sur la base de la décision de la Cassation italienne, détient illégalement les deux enfants.

Suite à cette situation, j'ai présenté une plainte devant le Parquet de Fermo contre Rocco ANTONINI pour enlèvement d’enfants demandant l’émission d’un mandat d’arrêt européen.  L’enlèvement est une conséquence directe et immédiate du jugement de la Cour Suprême de Cassation puisque le délit n’est pas seulement lié à l’enlèvement tout court  mais également à la détention illégale du mineur. Dans ce cas, sur la base de la décision de la Cassation italienne, la présence des enfants au domicile du père est illégale.

Par ailleurs, cette plainte ne concerne pas seulement l’enlèvement d’enfants encore en cours jusqu’à la restitution des enfants à leur mère ; mais aussi l’actualité des abus sexuels que le père serait en train d’infliger à ses enfants.
Par conséquent, dans l’intérêt supérieur de mes deux enfants et dans le respect de leurs droits les plus fondamentaux, et étant donné la gravité des faits criminels commis par rocco antonini et roberto antonini sur mes petites (procédures pénales en cours en Italie),  les autorités judiciaires belges sont en devoir de statuer en urgence sur la reconnaissance et l’exécution de la décision émise par la Cour de Cassation italienne en date du 27 mai 2008.

Nous rappelons, en effet, que la loi applicable dans cette affaire, est la loi européenne
Le droit national belge ne peut, en aucun cas, s’imposer sur le Règlement Européen qui est le seul compétent à réguler cette affaire.  La Belgique, en tant qu’Etat Membre renonce partiellement à sa souveraineté pour se soumettre à celle de l’Union Européenne, dont il a choisi d’adhérer.

La reconnaissance des décisions étrangères émise par un Etat membre est AUTOMATIQUE, et elle ne peut conduire à une révision au fond (art 21 et 26 du Régl.(CE) N.2201/2003).   En d’autres termes,  le juge ne peut pas vérifier la compétence internationale du juge étranger mais uniquement si le jugement émane d’une juridiction d’un Etat qui s’est déclaré compétent. Les décisions rendues dans un Etat membre sont reconnues dans les autres Etats membres sans qu’il soit nécessaire de recourir à aucune procédure (art 21 du Régl. (CE) N. 2201/2003 du Conseil du 27/11/2003 relatif à la compétence, la reconnaissance et l’exécution des décisions en matière matrimoniale et en matière de responsabilité parentale abrogeant le Règl. (CE) N. 1347/2000)
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PARMI TOUS LES OBSTACLES RENCONTRES POUR L EXEQUATUR DE LA DECISION DE LA CASSATION ITALIENNE, EN BELGIQUE, JE VOUS PRESENTE CE QUI SUIT.  LES ECHANGES D'EMAILS TRES RECENTS ENTRE MES DEUX AVOCATS BELGES ET MOI-MEME .....

  • EXEQUATUR CASSATION ITALIENNE / CONCLUSIONS POUR L'APPEL A' DÉPOSER POUR LE 15/03/2013‏
De : MARIA-PIA MAOLONI
Date : mercredi 13 mars 2013 12:16
À :MAITRE  C-B........, MAITRE B
Objet :  EXEQUATUR CASSATION ITALIENNE/ CONCLUSIONS DE L'APPEL A' DÉPOSER POUR LE 15/03/2013

Chers Maîtres,

Hier soir, mardi 12/03/2013, à 19H 39, je reçois votre lettre et votre projet de conclusions pour notre appel relatif à l’exequatur de l’arrêt de la Cassation italienne, dont le dépôt au greffe est prévu pour ce vendredi 15/03/2013.

Dans votre lettre, vous écrivez :
« Dans la mesure où les conclusions de la partie adverse vous avaient été transmises le 25 janvier et où nous attendions vos observations endéans la quinzaine, nous regrettons toutefois cette communication tardive qui nous laisse peu de temps, vu la date ultime prévue pour le dépôt de nos conclusions d’appel (soit ce vendredi 15 mars) … »

Je ne souhaite pas polémiquer mais je tiens quand même à vous préciser que l’excuse que vous prenez pour l’envoi tardif de vos conclusions, c’est-à-dire envoi effectué deux jours avant leur dépôt au greffe, est injustifiée puisqu’en tant que « cliente » et « victime », je ne suis pas dans l’obligation de répondre aux conclusions de la partie adverse !

En revanche, j’ai le DROIT de répondre à VOS conclusions et d’en émettre mes observations et commentaires ; à condition bien évidemment que celles-ci me soient transmises dans un délai HUMAINEMENT RESPECTABLE, c’est-à-dire un délai qui me permette d’exercer ce droit et de pouvoir ainsi me permettre de commenter vos conclusions et d’y apporter d’éventuelles modifications !
Avoir un regard sur votre projet de conclusions et de pouvoir y apporter mes remarques et/ou modifications fait donc partie de mes DROITS, que vous, en tant qu’avocats, êtes en DEVOIR de respecter !

Je ne puis donc tolérer cette « légèreté » de votre part car,  n’oubliez pas qu’au centre de cette affaire, il y a la vie et l’avenir de mes deux enfants !  En psychologie, lorsqu’un système est dysfonctionnel et devient pathologique, le coupable a tendance à culpabiliser la victime.  Il va s’en dire qu’en tant que victime d’abus de pouvoir judiciaire belge depuis des années, j’attends de mes avocats, une défense de mes droits indépendamment de toute influence quelconque.  Je vous ai choisi en vous accordant ma confiance. Vous êtes donc rémunérés pour me défendre et non pour assister à mon exécution !
En conséquence, afin de maintenir cette confiance réciproque et surtout de veiller à la défense de mes droits, je souhaite qu’à l’avenir, votre projet de conclusions me soit transmis dans un délai minimum qui me permette d’y répondre et de les commenter, à savoir une dizaine de jours avant leur dépôt au greffe.
                                    
Je souhaite également entendre faire appliquer mon DROIT de répliquer aux allégations calomnieuses de la partie adverse puisque celle-ci les utilise à toutes les sauces dans ses conclusions afin de me discréditer. 

1/ En effet, la partie adverse écrit, dans ses conclusions (page 1) que l’instruction pénale belge pour viols sur mineurs à charge du géniteur, rocco antonini, s’est clôturée par un non lieu.
C’est donc pour ce motif que je souhaite ajouter dans vos conclusions l’existence des deux procès pénaux, en Italie, pour viols et prostitution de mineurs à charge du grand-père paternel, roberto antonini. 

Il semblerait que ds mon affaire, il est TABOU de parler du dossier pénal relatif aux viols sur mineurs à charge du géniteur et du grand-père paternel antonini !!
Je suis d’accord avec vous lorsque vous écrivez que  «  la procédure d’exequatur est une procédure « technique »  de reconnaissance de décisions étrangères et qui ne laisse pas de place à l’appréciation subjective du juge ».

Mais dans ce cas, pouvez-vous m’expliquez pour quelle raison la partie adverse en parle alors dans ses conclusions (« non lieu du dossier pénal pour viols à charge du géniteur + dossier pénal pour enlèvement d’enfant contre moi ») ??
Et donc, pouvez-vous m’expliquez pour quelle raison je devrais faire fi d’en parler aussi ?
Ne pas parler du cœur du problème dans le cadre de mon affaire, en l’occurrence le procès pénal italien pour viols et prostitutions de mineurs à charge de roberto antonini (grand-père paternel), c’est entraver mon droit à la défense et mon droit à la réplique de pouvoir contre-argumenter les points soulevés par la partie adverse, mais c’est surtout et également NIER LA VÉRITÉ DES FAITS DE VIOLS SUR MES ENFANTS.
LA PEDOCRIMINALITE EST LA SUBSTANCE PRINCIPALE DE TOUTE MON AFFAIRE ET DE TOUTES LES DÉCISIONS JUDICIAIRES QUI EN DÉCOULENT !
Si la partie adverse parle des procédures pénales belges à ma charge, il est donc de mon DROIT de parler également des procédures pénales italiennes à charge des antonini. 
Le juge de l’appel doit avoir les deux sons de cloche !!!

 2/ Ensuite, la partie adverse fait référence au pseudo-enlèvement d’enfants que j’aurais commis en 2006 et aux mesures protectionnelles belges (article 38) mises en place par crainte de tentatives d enlèvement d’enfants que je pourrais commettre.

Pour la petite précision, je ne me suis pas réveillée un beau matin le 03/10/2006 pour décider de partir en Italie, avec mes enfants !!  Si je suis partie en Italie avec mes deux enfants, c’est parce que je savais que je ne commettais pas d’enlèvement d’enfants puisqu’au moment de mon départ, j’avais l’hébergement principal de mes filles et que le père n’avait pas son droit de visite… L’Italie m’a jugée et libérée sur le champ ! Je n’ai donc commis aucune infraction et suis donc une citoyenne libre en Italie !  De plus, la Cassation italienne se base sur deux points fondamentaux pour confirmer l’illégalité du rapatriement de mes enfants en Belgique : les articles 3 et 13 de la Convention de la Haye.  Comme vous le savez, l’article 3 spécifie  que le déplacement ou le non-retour d’un enfant est considéré comme illicite lorsqu’il a lieu en violation d’un droit de garde, attribué à une personne.  Ayant l’hébergement principal de mes enfants au moment de mon départ pour l’Italie, je n’ai donc pas commis d’enlèvement.
Il est évident que l’arrêt de la Cassation est purement technique et n’examine pas le fond mais il est aussi évident que si j’avais commis l’enlèvement (comme le font croire croire les magistrats de Mons), le rapatriement de mes enfants en Belgique n’aurait pas été révoqué et donc considéré comme illégal par la Cour Suprême de la Cassation italienne.
En conséquence, la décision de la Cassation italienne qui révoque le rapatriement de mes enfants en Belgique est corrélée avec l’absence d’infraction pour enlèvement d’enfants, dans mon chef.
Vous devez savoir que toutes les procédures civiles (autorité exclusive des enfants accordée au père ; privation de tout contact entre mes enfants et la branche maternelle) et protectionnelles en Belgique qui sont survenues APRÈS mon départ pour l’Italie découlent de ce pseudo-enlèvement d’enfants que, selon les autorités belges, j’aurais commis.
Il est donc fondamental de faire apparaître ce qui précède dans vos conclusions ; ceci dans le cadre de ma défense mais aussi afin de répliquer aux calomnies de la partie adverse.

Un autre point que je souhaite souligner par rapport à ce que vous écrivez dans votre lettre :
« Par ailleurs, la force exécutoire et la force de chose jugée sont deux notions distinctes en droit judiciaire (le caractère définitif d’une décision sur le plan des recours n’entraîne pas automatiquement la force exécutoire). Il est difficile, nous le savons, d’envisager concrètement une exécution forcée de l’arrêt dans la mesure où, en l’état actuel des procédures belges, le retour forcé des enfants en Italie ne pourrait être exigé. »

Ceci est votre libre interprétation personnelle et subjective du Règlement « Bruxelles II bis » et extrapole  le cadre mis en place par les conventions européennes sur la reconnaissance et l’exécution des décisions étrangères au sein des États membres !
En effet, la décision de la Cassation italienne inclue ses deux notions : le caractère définitif de la décision et la force exécutoire de cette décision.  Selon le Règlement Bruxelles II bis, une décision étrangère ne peut faire l’objet d’une révision au fond ; raison pour laquelle un des principes fondamentaux retenu par ce même Règlement relatif à l’exequatur et à l’exécution d’une décision est la NATURE DÉFINITIVE du jugement émis.  Par conséquent, dans le cadre de cette affaire, la Cassation italienne qui se prononce « sans renvoi », garantit cette notion de la force de chose jugée. 
Pour ce qui concerne, la force exécutoire, la Cassation italienne a délivré le certificat visé à l’article 39 du Règlement « Bruxelles II bis » démontrant ainsi qu’il s’agit bien d’une décision « en matière de responsabilité parentale » au sens dudit Règlement, mais démontrant aussi son EXÉCUTION comme il est indiqué à la page 2, point 11.1 de ce même certificat, à savoir : « la décision prévoit le retour du mineur (en Italie) : oui ».

Par ailleurs, vous écrivez  également dans votre lettre :
 « Vous citez le droit des enfants à maintenir des contacts avec leurs deux parents, fondé sur la Convention relative aux droits de l’enfant. Il s’agit en effet de droits importants mais qui n’entrent pas en ligne de compte pour la décision d’exequatur. »

L’interêt SUPÉRIEUR de mes enfants est d’ETRE ET de VIVRE avec leur mère aimante et protectrice !!!
Il est donc extrêmement important de parler dans vos conclusions des droits de mes enfants puisque le deuxième juge de Première Instance de Mons, dans sa décision du 11 juillet 2012 met à néant l’exequatur de l’arrêt de la Cassation italienne en raison d’une prétendue absence d’intérêt de ma part à agir !

Ayant moi-même enseigné à l’Université durant 11 ans, je peux comprendre votre emploi du temps chargé et que vous ayez l’intention de déléguer à un de vos confrères le dépôt au greffe de nos conclusions, pour ce vendredi 15/03.
Je vous demande, toutefois,  de bien vouloir me transmettre, dans le courant de cette journée, la mouture de vos conclusions qui inclue  l’intégralité de mes remarques effectuées.

Afin de m’assurer que celles-ci y figurent, je souhaite que vous me transmettiez dans le courant de cette journée, la mouture de vos conclusions, qui incluent toutes mes observations.  Si tel n’est pas le cas, dans le souci de la défense de mes intérêts, vous comprendrez que je devrais m’opposer catégoriquement à ce que votre projet de conclusions  soit déposé au greffe dans l’état dans lequel vous me l’avez transmis hier au soir.

Voici les modifications et/ou rajouts à effectuer dans votre projet de conclusions :.........

Dans l’attente de recevoir, ce jour, vos conclusions modifiées en fonction de mes remarques ci-dessus, je vous prie d’agréer, Chers Maîtres, l’expression de mes sentiments distingués.

MAOLONI Maria-Pia

EN ANNEXES : LETTRE DE MES DEUX AVOCATS BELGES REÇUE LE 12/03/2013




ARTICLES DE PRESSE:

Enfants ballottées : annulation de leur rapatriement en Belgique !
Telle est la décision de la Cour de Cassation

San Benedetto del Tronto

Le décret avait été émis par le Tribunal de la Jeunesse d’Ancône en mai 2007 et les enfants avaient été confiées au père et rapatriées en Belgique, où elles sont encore là aujourd’hui.

Maria Pia Maoloni attend que la Cour d’Appel de Mons en Belgique revienne sur ses pas et révise la sentence par laquelle ses filles Fiona et Milla, 9 et 4 ans, ont été confiées à leur père. Elle ne les voit plus depuis plus d’un an et peut-être que maintenant la rencontre attendue approche.

En effet, la Cour de Cassation de Rome a annulé le décret de rapatriement des enfants en Belgique émis par le Tribunal de la Jeunesse d’Ancône en mai de l’année dernière. Mme Maoloni avait accusé son ex-mari de présomption d’abus sexuels à l’encontre de leur fille aînée et lui-même y avait rétorqué l’aliénation parentale. En juin se tiendra à Mons l’appel contre la garde accordée à l’ex-mari, mais qui pourrait cependant être reconduit, parce que pèse sur la tête de Mme Maoloni qui devrait être présente au tribunal, un mandat d’arrêt pour enlèvement de mineurs, valable en Belgique.

En 2006, en effet, la mère était venue avec ses filles à Castignano (Italie), en ayant bel et bien le droit de le faire puisqu’elle en avait la garde. De plus, à cause de son arrestation en Italie pour la question de l’enlèvement d’enfants, elle n’a donc pu reconduire les petites en Belgique. Alors que, dans notre pays, elle n’a pas été accusée de séquestration ; en Belgique, par contre la situation est différente : si Mme Maoloni y met le pied, elle sera arrêtée.

A propos du succès en Cassation, Me Gabriella Ceneri qui, avec son confrère Carlo Taormina, assure la défense, déclare : « Cette sentence m’a donné grande satisfaction morale, car elle a confirmé tout ce que nous avions déjà présenté auprès du Tribunal de la Jeunesse d’Ancône, avec l’exception préliminaire du jugement de la Cour d’Appel. C’est-à-dire que le Tribunal de la Jeunesse ne pouvait plus se prononcer sur la demande de rapatriement puisque ce jugement s’était établi à la suite de la décision de la Cour d’Appel d’Ancône, décision qui avait déjà révoqué le premier jugement de rapatriement des enfants. De plus, l’Antonini, le père des enfants, n’avait pas fait appel contre cet arrêt de la Cour d’Appel d’Ancone. Opinion partagée par le Procureur de la Jeunesse, Me Pastore. » 11/06/08


Bimbe contese, nullo il rimpatrio in Belgio. Lo ha deciso la Corte di Cassazione

San Benedetto del Tronto

Il decreto era stato emesso dal Tribunale dei Minori di Ancona nel maggio 2007 e le bimbe erano state affidate al padre e portate in Belgio, dove sono ancora oggi.
Maria Pia Maoloni attende che la Corte di Appello di Mons in Belgio ritorni sui suoi passi e riveda la sentenza con la quale ha affidato le sue piccole, Fiona e Milla di nove e quattro anni, al padre. Da oltre un anno non le vede e forse ora l'atteso incontro si avvicina.
Difatti la Corte di Cassazione di Roma ha annullato il decreto di rimpatrio delle bambine emesso dal Tribunale dei Minori di Ancona a maggio dello scorso anno.La Maoloni aveva accusato l'ex marito di presunte molestie sessuali nei confronti della figlia maggiore e lui aveva risposto con una denuncia per alienazione parentale.A giugno si terrà a Mons l'appello contro l'affido a favore dell'ex marito che potrebbe però essere rimandato perché sul capo della Maoloni che dovrebbe essere presente in tribunale pende un mandato di cattura per sottrazione di minori valevole in Belgio.
Nel 2006 infatti la donna venne a Castignano con le sue figlie avendo il diritto di farlo. Quando per la questione dell'accusa di molestie è stata fermata in Italia, non ha potuto ricondurre le bimbe in Belgio. Mentre nella nostra nazione non è stata accusata di sequestro, in Belgio la situazione è diversa: se la Maoloni mette piede lì sarà arrestata.
Per il successo in Cassazione l'avv. Gabriella Ceneri, che insieme al collega Carlo Taormina ha la tesi difensiva, dichiara: "Questa sentenza mi ha dato grande soddisfazione morale, perché ha ribadito quanto avevamo già fatto presente al Tribunale dei Minori di Ancona, con l'eccezione preliminare del giudicato della Corte di Appello. Cioè il Tribunale dei Minori non avrebbe potuto pronunciarsi sulla domanda di rimpatrio, in quanto si era formato il giudicato a seguito della pronuncia della Corte di Appello di Ancona, non impugnata da Antonini, padre delle bambine. Opinione condivisa dal Procuratore dei Minori, il dott. Pastore".
11/06/2008

http://www.ilquotidiano.it/articoli/2008/06/11/85803/bimbe-contese-nullo-il-rimpatrio-in-belgio-lo-ha-deciso-la-corte-di-cassazione



LIRE LES AUTRES ARTICLES DE JOURNAUX SUR NOTRE VICTOIRE A LA CASSATION A ROME :

http://www.sambenedettoggi.it/2008/06/11/57023/bimbe-contese-l%e2%80%99avvocato-ceneri-%c2%aburgono-modifiche-legislative%c2%bb/

http://www.sambenedettoggi.it/2008/06/11/57021/bimbe-contese-una-precisazione-dell%e2%80%99avvocato-ceneri/


TRADUCTION EN ITALIEN


CORTE DI CASSAZIONE: RIMPATRIO DELLE BAMBINE ILLEGALE

IL 27-05-2008, LA CORTE DI CASSAZIONE A ROMA HA DECISO (SENZA RINVIO) CHE IL RIMPATRIO DELLE MIE BAMBINE IN BELGIO E' ILLEGALE. QUINDI, FIONA E MILLA NON POTEVANO ESSERE RIMPATRIATE E DOVEVANO RIMANERE IN ITALIA. INVECE, IL 19-05-2007, LE MIE BAMBINE SONO STATE RAPITE SULLA BASA DELLA RICHIESTA DEL PADRE DAVANTI LE AUTORITA' BELGHE E ITALIANE. NON HO PIU' NESSUNA NOTIZIE DELLE MIE BAMBINE!!! IL PADRE, CON LA COMPLICITA' DELLE INSTANZE GIUDIZIARE DI MONS (BELGIO) E DEL SERVIZIO DI PROTEZIONE GIUDIZIARE DI MONS (BELGIO) RIFIUTA OGNI CONTATTO TRA IO E LE MIE BAMBINE (NEANCHE UN CONTATTO AL TELEFONO)!!!
ARTICOLO STAMPA: Bimbe contese, nullo il rimpatrio in Belgio. Lo ha deciso la Corte di CassazioneSan Benedetto del Tronto Il decreto era stato emesso dal Tribunale dei Minori di Ancona nel maggio 2007 e le bimbe erano state affidate al padre e portate in Belgio, dove sono ancora oggi. Maria Pia Maoloni Maria Pia Maoloni attende che la Corte di Appello di Mons in Belgio ritorni sui suoi passi e riveda la sentenza con la quale ha affidato le sue piccole, Fiona e Milla di nove e quattro anni, al padre. Da oltre un anno non le vede e forse ora l'atteso incontro si avvicina. Difatti la Corte di Cassazione di Roma ha annullato il decreto di rimpatrio delle bambine emesso dal Tribunale dei Minori di Ancona a maggio dello scorso anno.La Maoloni aveva accusato l'ex marito di presunte molestie sessuali nei confronti della figlia maggiore e lui aveva risposto con una denuncia per alienazione parentale.A giugno si terrà a Mons l'appello contro l'affido a favore dell'ex marito che potrebbe però essere rimandato perché sul capo della Maoloni che dovrebbe essere presente in tribunale pende un mandato di cattura per sottrazione di minori valevole in Belgio. Nel 2006 infatti la donna venne a Castignano con le sue figlie avendo il diritto di farlo. Quando per la questione dell'accusa di molestie è stata fermata in Italia, non ha potuto ricondurre le bimbe in Belgio. Mentre nella nostra nazione non è stata accusata di sequestro, in Belgio la situazione è diversa: se la Maoloni mette piede lì sarà arrestata. Per il successo in Cassazione l'avv. Gabriella Ceneri, che insieme al collega Carlo Taormina ha la tesi difensiva, dichiara: "Questa sentenza mi ha dato grande soddisfazione morale, perché ha ribadito quanto avevamo già fatto presente al Tribunale dei Minori di Ancona, con l'eccezione preliminare del giudicato della Corte di Appello. Cioè il Tribunale dei Minori non avrebbe potuto pronunciarsi sulla domanda di rimpatrio, in quanto si era formato il giudicato a seguito della pronuncia della Corte di Appello di Ancona, non impugnata da Antonini, padre delle bambine. Opinione condivisa dal Procuratore dei Minori, il dott. Pastore". 11/06/2008 http://www.ilquotidiano.it/articoli/2008/06/11/85803/bimbe-contese-nullo-il-rimpatrio-in-belgio-lo-ha-deciso-la-corte-di-cassazione LEGGERE GLI ALTRI ARTICOLI DEI GIORNALI SULLA NOSTRA VITTORIA IN CASSAZIONE A ROMA : http://www.sambenedettoggi.it/2008/06/11/57023/bimbe-contese-l%e2%80%99avvocato-ceneri-%c2%aburgono-modifiche-legislative%c2%bb/ http://www.sambenedettoggi.it/2008/06/11/57021/bimbe-contese-una-precisazione-dell%e2%80%99avvocato-ceneri/


INTERVIEW CHOC DU TEMOIN FRANCAIS QUI A RECONNU FIONA (4 ANS) DANS DES FETES PEDOPHILES

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TEMOIGNAGE DU TEMOIN FRANCAIS:

« J’ai été adoptée à cinq ans et j’ai commencé à vivre ces horreurs à l’âge de sept ans. J’ai subi des abus par mes parents adoptifs, mère et père. Au début, c’était des approches délicats, puis de plus en plus terribles. De victime, je suis également devenue abusante. Cela a été un parcours de pressions psychologiques. Ils te font croire qu’il s’agit d’une situation normale. A un certain moment, j’ai constaté que mon frère était en train de vivre la même tragédie. Ce n’était plus possible. Je me suis adressée à une association internationale reconnue et qui a son siège à Paris ».

Comment est ramifiée et structurée cette loge de pédophiles ?
« Il s’agit d’une organisation internationale avec une hiérarchie bien précise. Elle a une forme pyramidiale. Au somment de tout, il y a un chef qui commande et dicte les ordres du haut. Puis, il y a les responsables nationaux, qui à leur tour, font filtrer les directives dans différents pays. La communication voyage à travers internet, avec des codes bien précis ».

Myriam, vous êtes témoin dans le procès sur le cas Maoloni. Vous avez déclaré avoir rencontré les enfants et les Antonini, père et fils. Est-ce vrai ?
« Oui, je le confirme et je ne changerai pas une virgule de mes déclarations ».

Dans quel contexte, vous avez vu les enfants et les sieurs Antonini ?
« Je les ai rencontrés oui, mais j’ai vu seulement la fille aînée de Madame Maoloni. Je l’ai croisée dans ce qu’ils appellent, les cérémonies sexuelles. Les rencontres ont eu lieu en Belgique, en France, en Italie et en Allemagne. Dans ces contextes, les enfants subissent des abus par des personnes importantes et qui ont un certain pouvoir. »

Qui fréquente ces rencontres ?
« Ce ne sont pas des ouvriers. Ce sont des personnes aisées, politiciens, gens de pouvoir et qui ont de l’argent. C’est pour cette raison que la justice n’avance pas. Parce qu’il existe des protections importantes autour de ce réseau ».

Qui étaient tes parents adoptifs ?
« Mes parents étaient aisés ».

Comment s’organisent ces rencontres ?
« Le chef de l’organisation appelle les subordonnés au niveau national. Ils apportent aussi les enfants. Les communications arrivent sur internet, avec des codes bien précis ».

Qui sont les enfants victimes du réseau ?
« La grande majorité des enfants qui disparaissent sont des mineurs abusés dans ce réseau de pédophiles internationaux. Il y a des personnes payées pour enlever les enfants. Les victimes sont choisies sur base de critères précis, comme la couleur des cheveux et des yeux ».

Rentre t-on dans ce réseau seulement pour l’argent ?
« Non, pour le plaisir et l’argent ».

Comment surviennent ces rencontres ?
« Ce sont des cérémonies, comme celle de l’habit de mariée. Elles se basent sur des rituels précis. Ce ne sont pas uniquement les enfants qui doivent être travestis, les adultes le font aussi. »

Combien de fois avez-vous participé à ce type de rencontres et ou’ ?

« Combien de fois j’y ai participé, je ne saurais pas le dire. De nombreuses fois. Je suis allée à des rencontres en Italie, en Belgique, en France, au Luxembourg et en Allemagne ».

En Italie, ou’ ?
« Dans la zone de Rome et de Pise, en ville et régions voisines ».

Pourquoi l’on ne parle jamais de ces réseaux de pédophilie ?
« On ne se préoccupe pas de la pédophilie car il y trop d’implications politiques et de conséquentes protections. Il est important de comprendre que ce phénomène représente une urgence grave. Tous les enfants sont en danger ».

Vous êtes en train d’écrire un livre, est-ce vrai ?
« Oui, mais personne ne veut assumer le risque d’éditer mon livre. »

Le motif ?
« Le même pour lequel la justice belge fait semblant que le problème n’existe pas ».

Vous avez témoingné en déclarant avoir vu la fille aînée de Madame Maoloni participer à ces rencontres, mais la justice belge ne vous a jamais entendue.
« Personne ne m’a appelée en Belgique pour écouter mon témoignage ».

Quand vous êtes venue la première fois en Italie, vous avez perdu votre ordinateur et il vous a été rendu sans disque dur. Que contenait-il ?
« Il y avait le dossier pénal, avec mes preuves ».

Avez-vous reçu des menaces ?
« Oui, j’ai reçu des menaces et ma voiture a été objet d’actes de vandalisme. Ils m’avaient détruit les freins ».

Vous avez aussi reçu un coup de téléphone de Rocco Antonini, le père des enfants ?
« Oui, j’ai été menacée au téléphone par Rocco. Il m’a dit qu’il me tuerait ».

Vous avez peur et que voulez-vous faire encore ?
« Oui, j’ai une peur au quotidien pour moi et pour les personnes que j’aime. C’est une bataille. Je revis l’horreur de ces violences jour après jour. Mais, je ne veux pas m’arrêter. Pour aider les enfants qui sont victimes de ce drame. »

Un des maris des inculpés dans le cas de Rignano Flaminio a dit qu’il n’existe pas un réseau international de pédophiles, que ce sont des histoires….
« Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage… »


INTERVIEW A LA RADIO "CENTRO SUONO SPORT - ROMA", LE 20 FEVRIER 2009.
POUR ECOUTER L'INTERVIEW, ALLER SUR LE BLOG SUIVANT:

http://www.dalpaesedeibalocchi.com/?p=2251
http://www.marione.net/notizie/legginews.php?Action=Full&NewsID=3649
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